Iconothèque Jardins

Le Parc de Sceaux

Illustrations du XVIIe au XXe siècle

Collectées par Chiara Santini


Capturefile: F:Captures MIdF20030707NUM 94_15_1_155 CaptureSN: BR000188.013163 Software: Capture One 2.9 for WindowsAdam Perelle : Le Château de Sceaux vu du bassin de Diane (XVIIe siècle)

 

 


Adam Perelle, Salon de treillage du petit bois de Sceaux, XVIIe siecleAdam Perelle : Salon de treillage du petit bois de Sceaux (XVIIe siècle)

 

 

 


Alain Manesson Mallet_Chasteau de Sceaux du cote du jardin_XVIIe siecleAlain Manesson Mallet : Chasteau de Sceaux du coté du jardin (XVIIe siècle)

 

 

 

 


Auguste Anastasi_Le parc de Sceaux_1858

Auguste Anastasi : Le parc de Sceaux (1858)

 

 


Claude Niquet et Meunier_Le domaine de Sceaux en 1796Claude Niquet et Meunier : Le domaine de Sceaux en 1796

 

 


Huet J.-B., Vue du parterre de Sceaux du cote de la cascade_XVIIIeHuet J.-B. : Vue du parterre de Sceaux du côté de la cascade (XVIIIe)

 

 


Jacques Rigaud_Vue du chateau de Sceaux et du petit parterre qui conduit a l'Orangerie_1740caJacques Rigaud : Vue du château de Sceaux et du petit parterre qui conduit à l’Orangerie (1740)

 

 


Jacques Rigaud_Vue du chateau de Sceaux prise dans l'eloignement en face du cote de Chatenay_1740Jacques Rigaud : Vue du château de Sceaux prise dans l’éloignement en face du côté de Châtenay (1740)

 

 


Jean II Leblond_Plan de la salle des Antiques ou Galleries d'eau du Jardin de Sceaux du Dessein du Sr le Nautre_XVIIIe siecleJean II Leblond : Plan de la salle des Antiques ou Galleries d’eau du Jardin de Sceaux du Dessein du Sr le Nautre (XVIIIe siècle)

 


Nicolas Perelle (d'apres)_Les cascades de Sceaux_XVIIIe siecleNicolas Perelle (d’après) : Les cascades de Sceaux (XVIIIe siècle)

 

 


Paul-Alex Deschmacker_L’allee de la duchesse_XXe sieclePaul-Alex Deschmacker : L’allée de la duchesse (XXe siècle)

 

 

 

 


Vielh-ChereauRaymond-Augustin Vieilh de Varennes, Jacques-François Chéreau : Vue prise dans les jardins de Sceaux (XVIIIe siècle)

 

 


Vue du chateau de Sceaux entre Paris et Versailles_XVIIIVue du château de Sceaux entre Paris et Versailles (XVIIIe siècle)

 

 


Vue du chateau de Sceaux entre Paris et VersaillesIdem

 

 


UE 9 Stage

Stage de recherche ou stage professionnel

 

Objectifs

Produire un mémoire de recherche sur un sujet lié au paysage ou/et au projet de paysage.

S’appuyer sur un laboratoire d’accueil, ou un organisme spécialisé dans les questions de paysage, pour cette réalisation

Expérimenter une démarche autonome de recherche.

 

Contenu

Personalisé.

 

Compétences

Apprendre, à partir d’un sujet d’intérêt, à construire une démarche de recherche.

Acquérir une expérience de terrain, en relation avec les démarches de recherche enseignées.

Savoir rédiger un mémoire selon les normes en usage dans le monde scientifique.

Savoir construire un questionnement problématisé et une méthodologie pour y répondre (hypothèses/outils).

Positionner les questions de paysage parmi les différentes disciplines concernées.

 

Coordinatrice

Sophie Bonin, Géographe, maître de conférence à l’ENSP

 

Équipe pédagogique

Tous les enseignants du master sont potentiellement impliqués dans l’encadrement ou le co-encadrement des stages.

 

Langue d’enseignement

Adaptée au stage, sachant que le mémoire devra être rédigé en français.

 

Volume horaire

300 heures (un semestre), dont 18 heures de tutorat

 

Durée du stage

6 à 25 semaines

 

Modalité de contrôle

Le stage n’est pas évalué en tant que tel, il l’est à travers le mémoire de recherche.

Dépôt d’un mémoire (2 semaines avant soutenance) et soutenance orale. Le document écrit est évalué par le directeur du mémoire et par un rapporteur extérieur. La note de l’écrit compte double de l’oral.

La présentation orale est notée par l’ensemble des enseignants responsables d’UE et les tuteurs de mémoire réunis en jury.

Voir UE 8 «Projet de recherche»

Mis à jour le 18 avril 2016 – Télécharger au format texte

Guide du mémoire

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PETIT GUIDE DU MÉMOIRE

© S. Bonin, 2014-2016

Attention : la version en ligne se déroule sur trois pages (cliquer sur “2” et “3” en bas de page)

Télécharger le PDF (version 2018)


Le contenu et la présentation du mémoire

 

Page de couverture et première page (résumés et mots-clefs)

– TITRE : le titre doit faire apparaître de manière synthétique la question traitée, le/les lieu(x) concernés, ou les auteurs ou projets étudiés. Pensez notamment à ceux qui, en bibliothèque ou par les moteurs de recherche, entreront d’abord avec ce titre. Essayez de trouver un titre fort et/ou surprenant/ou un peu provocateur/incisif. Dans tous les cas, pensez aussi que vous pouvez proposer un SOUS-TITRE où, par exemple, votre lieu de recherche apparaît.

– Cette page doit obligatoirement comporter les éléments qui sont sur le modèle ci-dessous (téléchargeable ici), bien apparents, même si vous êtes libre d’ajouter des illustrations ou une mise en page personnelle qui, comme le travail sur le titre, contribue à une « belle présentation ».

Télécharger les trois logos

 

La 1ère page du mémoire est consacrée aux résumés (10-12 lignes), en français et en anglais, et à l’indication de mots-clefs, en français et en anglais également, entre 5 et 10.

Ces mots-clefs ont pour objectif de permettre à une personne intéressée par une question, un terrain, un sujet proche du vôtre, de vous « trouver » dans les bases documentaires. Il faut donc des mots simples, précis, et justes par rapport au contenu de votre mémoire. Ils viennent éclaircir et compléter votre titre, et pas le répéter.

Remerciements

Ils peuvent apparaître au début du mémoire, avant le sommaire, ou après; ou à la fin du mémoire, en dernière page.

Sommaire

– Avec un n° de page en bout de ligne (plan + annexes + tables + glossaire + bibliographie). Ce rappel n’est pas inutile car il n’est pas rare que la pagination soit oubliée dans le sommaire et plus largement dans le document ……. !

– Le sommaire est indispensable pour avoir une vision globale du rapport. Un rapport bien construit se révèle dans le sommaire. Pour chaque Partie, Chapitre, Paragraphe, il faut s’efforcer de renseigner les titres (« titre idée »). Le sommaire doit donc se lire de manière limpide et montrer une progression dans le raisonnement développé tout au long du rapport.

– Si le mémoire est très découpé, il n’est pas nécessaire d’indiquer toute la hiérarchie. Un équilibre doit être trouvé pour faire passer l’essentiel de l’argumentaire sans « noyer » le lecteur.

– Les titres présentés dans le sommaire sont identiques à ceux du corps du texte : pensez à le vérifier au moment de la dernière lecture, indispensable.

Introduction générale (elle ne donne pas lieu à un titre)

– Le contexte de l’étude, qui peut éventuellement être personnel : contexte du mémoire dans votre formation, insertion dans le cursus ; ou attaquer directement le sujet choisi, en partant d’enjeux généraux.

– Choix et justification du sujet, de son intérêt par rapport à d’autres travaux proches dans leur démarche ou dans leur objet.

– Construction d’un questionnement qui deviendra le fil conducteur de la réflexion (encore appelé « problématique »).

– Méthodes et outils (ex. travail de terrain, sources documentaires, entretiens, bibliographie, etc.).

– Limites de l’étude (ce que le lecteur ne trouvera pas dans votre mémoire…)

– Annonce du plan (uniquement les grandes parties).

Le contenu de l’introduction est très important : il donne (ou non !) l’envie, au lecteur, de poursuivre la lecture du document. Souvent, on l’écrit en dernier.

Structuration du développement

– Rechercher cohérence et clarté dans la structuration du plan (équilibre du plan, logique dans le déroulement de l’argumentation)

– Hiérarchiser les titres : Partie (I) Chapitre (1) Paragraphe (a).

– La structuration du plan est pensée dans une logique de démonstration et d’argumentation afin de « résoudre » le questionnement général. Le plan idéal déroule une logique de démonstration, en lien direct avec le sujet traité, par thématique ou sur un schéma : contexte/méthode/résultats/discussion, qui est le « plan-type » des publications scientifiques anglophones ; mais les sciences de l’Homme et de la Société françaises résistent assez bien à ce modèle ! On considère en effet qu’il est en général préférable d’éviter les plans-types, mais, lorsque le sujet s’y prête bien, il ne faut pas non plus les refuser. Exemples de plans bêtes mais qui peuvent s’avérer très efficaces, et être suivis s’ils sont amenés avec subtilité) : thèse/antithèse/synthèse ; atouts/faiblesses ; global/local ; cas 1 / cas 2 / comparaison cas 1 et 2…

– Travailler les titres pour qu’ils ne soient pas interchangeables et qu’ils expriment les étapes de votre raisonnement et les idées principales contenues dans le corps du texte. Ils évoquent le contenu des paragraphes qu’ils encadrent (nécessité d’en choisir la formulation définitive après avoir rédigé le texte). Mieux vaut un titre fort (provocateur, incisif, …) mais imparfait ou ne reflétant qu’un aspect seulement du développement dont il va être question, qu’un titre conforme, “académique”, consensuel, mais mou et fade !

– Rédiger une introduction et une conclusion pour chaque grande «Partie» : en lisant simplement les introductions et les conclusions ainsi emboîtées, le lecteur peut comprendre l’essentiel de la démarche et les résultats les plus importants. Tout comme le sommaire, les introductions et les conclusions constituent le squelette et la structure du mémoire.

– Soigner les transitions entre les chapitres (souligner la continuité de la démonstration et de l’argumentation).

– Mettre en valeur les illustrations originales (cartes, photographies,…) produites par vos soins, les insérer de façon pertinente au regard du texte de façon à ce qu’elles entrent en résonance avec celui-ci.

Conclusion générale (elle ne donne pas lieu à une page de titre)

Rédiger une conclusion est un exercice difficile, celui dont la rédaction devrait être la plus soignée. Il faut à la fois résumer les idées auxquelles vous avez abouti et qui vous semblent les plus intéressantes/les plus neuves, prendre le lecteur par la main une dernière fois, pour lui dire : « vous avez compris… C’était ça… » Mais il faut aussi considérer que le lecteur a (normalement !) déjà compris et retenu ce qu’il y avait dans votre développement, et lui apporter donc un supplément de réflexion, qui vient souvent d’une ouverture de votre sujet vers d’autres horizons, d’autres approches.

Quelques pistes pour la conclusion :

– mettre en relief certains résultats qui vous semblent importants et notamment ceux qui permettent de répondre à la problématique.

– proposer des comparaisons avec d’autres régions ou d’autres projets qui mettent sous un jour différent votre sujet, ou proposent des orientations originales.

– souligner les limites de l’étude et les difficultés rencontrées.

– profiter de la conclusion pour indiquer quelques pistes que vous n’avez pas pu traiter, pour ouvrir sur des questionnements, non abordés dans le présent dossier. – enfin, notez qu’une conclusion peut ne pas s’appeler “Conclusion”, ou s’appeler : “Conclusion”, suivi d’une phrase…).

Bibliographie et sources

– L’ensemble des documents utilisés dans le mémoire doivent être référencés dans la bibliographie, et classés par ordre alphabétique des noms d’auteurs.

– Il est préférable de ne pas diviser la bibliographie en catégories, de thème ou de type (ouvrage/article etc.) surtout au niveau d’un mémoire de Master 2, à moins qu’un objectif important de votre travail soit de construire une bibliographie.

– Les sources (à distinguer de la bibliographie proprement dite) recouvrent, par exemple, des documents imprimés (documents publicitaires, journaux locaux), des documents d’archives (cartes et cartes postales anciennes, gravures, plans, photographies, cadastres anciens, cartes IGN anciennes), des statistiques (RGA, RGP, inventaires communaux), des documents graphiques (plans d’urbanisme, plans de paysage, chartes de PNR, cartes IGN actuelles, cartes géologiques, pédologiques, sensibles), des sites web, des documents audiovisuels etc.

– Respecter les normes de présentation (typographie et classement des documents).

Bien prendre soin de relever les références exactes des ouvrages et sources au fur et à mesure qu’on les trouve ; au moment de la rédaction, il sera trop tard pour retrouver les références précises.

Glossaires (si nécessaire)

– Glossaire des termes techniques ou notions utilisés dans le mémoire.

– Glossaire des sigles (Ex. ZNIEFF, SAU, PLU…).

– Glossaire du vocabulaire local

– Etc.

Tables (si illustrations abondantes)

– Distinguer, si les illustrations sont abondantes, une table des figures (cartes, schémas, dessins), une table des tableaux, et une des photographies.

– Les tables listent ces différents types de documents et renvoient à la page où ils sont utilisés.

– Chaque document doit être numéroté dans le corps du texte.

Annexes

– On peut y insérer tout document méthodologique (ex. questionnaire d’une enquête) ou autres documents « sources » utilisés dans le cadre de la démonstration (ex. tableaux de statistiques, extraits de documents d’urbanisme etc.). – Il ne faut pas abuser des annexes : elles ne sont pas indispensables à la compréhension du texte et sont des documents bruts (des « plus » offerts au lecteur). N’oubliez pas que le lecteur lit rarement ou rapidement les annexes. Donc, quand vous le pouvez, basculez dans le corps du texte ce que vous vouliez mettre en annexe. Les annexes sont une paresse et une facilité, et en plus, elles dévalorisent ce qu’on y place ! Mais elles peuvent prendre une vraie signification en cas de document particulièrement original dont on veut donner une édition complète.

– Seule la première page des annexes est paginée (la pagination du document s’arrête à la première page des annexes) mais toutes sont numérotées (Annexe n°1, 2, etc.).

Le document final attendu, hors annexe, est de l’ordre de 50 pages rédigées ; la part laissée aux illustrations peut bien entendu faire varier cet objectif.

Suite page 2…

UE 8 : Projet de recherche

UE7 <-

Biblio (voir UE7) – Guide du mémoire

Objectifs

Produire un mémoire de recherche sur un sujet lié au paysage ou/et au projet de paysage (en langue française).

Expérimenter une démarche autonome de recherche, de la construction du sujet, de la méthodologie, à la réalisation et discussion des résultats.

Contenu de l’UE
Personnalisé:
– Stage non obligatoire.
– Toutefois, lorsque le sujet s’y prête, la démarche de recherche pourra être expérimentée dans le cadre d’un stage d’une durée de 4 à 6 mois.
– En l’absence de stage ou en cas de stage court (inférieur à 4 mois), des travaux de recherche (présentation de l’état de l’art et des matériaux de la recherche, traitement des données, etc.) accompagnés de rendez-vous réguliers avec les tuteurs de mémoires assureront la continuité pédagogique de l’UE.

Compétences

– Apprendre, à partir d’un sujet d’intérêt, à construire une démarche de recherche.
– Acquérir une expérience de terrain, en relation avec les démarches de recherche enseignées.
– Savoir rédiger un mémoire selon les normes en usage dans le monde scientifique.
– Savoir construire un questionnement problématisé et une méthodologie pour y répondre (hypothèses/outils).
– Positionner les questions de paysage parmi les différentes disciplines concernées

Coordinateurs

Yves Petit-Berghem, Géographe, professeur à l’ENSP.
Roland Vidal, Docteur en sciences de l’environnement, ingénieur de recherche à l’ENSP

Équipe pédagogique

Tous les enseignants du master sont potentiellement impliqués dans l’encadrement ou le co-encadrement des mémoires.

Volume horaire

600 heures (un semestre), dont 24 heures de tutorat.

Prérequis

Maîtrise de la langue française.

Période et lieu(x) enseignements

Période : second semestre (début février à fin juillet en cas de stage de 6 mois).
Lieu : Variable

Modalités des contrôles des connaissances

Le mémoire devra être rédigé en français, il comportera un résumé en français et en anglais. La soutenance sera en français.

Dépôt d’un mémoire (2 semaines avant soutenance) et soutenance orale. Le document écrit est évalué par le directeur du mémoire et par un rapporteur extérieur. La note de l’écrit compte double de l’oral.
La présentation orale est notée par l’ensemble des enseignants responsables d’UE et les tuteurs de mémoire réunis en jury.

Biblio AETPF Paysage

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Bases de données iconographiques
et
bibliothèques numériques pour l’histoire des jardins

Bibliothèques de référence pour la recherche sur les jardins et espaces publics parisiens


 

Agence photographique de la Réunion des musées nationaux

Architectura (textes d’architecture, manuscrits et imprimés, publiés en France entre XVIe et XVIIe siècles

Banque d’images de la Bibliothèque nationale de France

Bibliothèque numérique de l’Institut national d’histoire de l’art (INHA) [lien inopérant – recherche en cours]

Bibliothèque René Pechère. Multimédiathèque des Jardins

Gallica. Bibliothèque numérique de la Bibliothèque nationale de France (textes, documents manuscrits, plans, photos, images. Voir la section : Livres – Jardins : ici

Repères chronologiques pour l’art des jardins (Histoire des Arts, Ministère de la Culture et de la Communication)

Paris en images

 

Pour les jardins parisiens dans la seconde moitié du XIXe

Jean-Charles Adolphe Alphand (1813-1891), (dir.), Les promenades de Paris, 2 tomes, Paris, Rothschild Éditeur, 1867-1873. Accéder à l’ouvrageaux planches

 

Sur le Parc Monceau :

Gallica / Les Jardins / jardins célèbres : section « Parc Monceau » : ici [lien inopérant – recherche en cours]

C. Santini, « Le parc Monceau. Mémoire d’une folie », inJardins de France, mai-juin 2014 : ici [lien inopérant – recherche en cours]

 

Sur les Buttes-Chaumont :

Gallica / Les Jardins / jardins célèbres : section « Buttes Chaumont» : ici [lien inopérant – recherche en cours]

Page consacrée aux Buttes Chaumont sur le site de la Mairie de Paris (et spécialement les documents en pdf sur les travaux de restauration) : ici.

 

Sur la place de la Nation

Chercher sur Gallica « Barrière du Trône » et « place de la Nation »

Dans Les promenades de Paris, chercher les planches sur les places plantées.

Dans Paris en images chercher « place de la Nation »

Index UE3 archive

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Unité d’enseignement n° 3 : «Agriurbanisme»

Index des cours

 

1 – Histoire de l’agriculture et de ses relations à la ville (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

2 – L’Agriculture à la croisée des attentes urbaines, sociales et politiques (XG) – 1ère partie : un nouveau contexte pour la ville, l’agriculture et la société civile. Télécharger la présentation. Accéder au cours.

3 – L’agriculture face à l’étalement urbain, le cas de l’aire urbaine de Paris (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

4 – Agricultures urbaines (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

5 – Les agro-écologies (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

6 – Le Plateau de Saclay, introduction à la sortie du 12 novembre (RV)Télécharger la présentation. Accéder au cours.

7 – La face cachée du Paris haussmannien 1 – réinventer les égouts (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

8 – La face cachée du Paris haussmannien 2 – épandre, épurer, produire (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

9 – Agroforesteries (RV). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

10 – L’Agriculture à la croisée des attentes urbaines, sociales et politiques – 2e partie : problématiques foncières (XG). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

11 – L’Agriculture à la croisée des attentes urbaines, sociales et politiques – 3e partie : autres politiques agricoles locales (XG). Télécharger la présentation. Accéder au cours.

 

Biblio Claire Fonticelli

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Bibliographie indicative

ALUR. 2014. « LOI n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové ».

Anastasia Touati. 2010. « Histoire des discours politiques sur la densité », Etudes Foncières, p. 24.

Aragau, Claire. 2007. Aménagement d’une voie express et renouvellement périurbain : le cas de la N12 Paris 10.

Bauer, Gérard et Roux, Jean-Michel. 1976. La Rurbanisation ou la Ville éparpillée, Seuil, Paris : Seuil.

Berger, Martine. 2004. Les périurbains de Paris : De la ville dense à la métropole éclatée ?, Paris : CNRS.

Bonnin, Philippe, Berque, Augustin, Ghorra-Gobin, Cynthia et Collectif. 2006. La ville insoutenable, Paris : Belin.

Bordes-Pages, Castano et Abadia. 1995. Référentiel de densités et de formes urbaines Contribution pour un référentiel appliqué à l’habitat dans la région Île-de-FranceIAU.

Caruso, Gérard. 2002. « La diversité des formes de la périurbanisation en Europe », in Repenser les campagnes, p. 67‑99.

Charmes, Eric. 2011. La ville émiettée: essai sur la clubbisation de la vie urbainePresses universitaires de France.

Charmes, Eric. 2007a. « Le Malthusianisme foncier », Etudes foncières, n° 125, p. 12‑16.

Charmes, Eric. 2007b. « Les périurbains sont-ils anti-urbains ? », Les Annales de la Recherche Urbaine, n° 102, p. 7‑18.

Debry, Jean-Luc. 2012. Le cauchemar pavillonnaire, Montreuil : Editions L’échappée.

de Jarcy et Rémy. 2010. « Comment la France est devenue moche », Télérama.

Didier-Fèvre, Catherine, Poulot, Monique, Aragau, Claire, Berger, Martine, Rougé, Lionel, Mettetal, Lucile, Bouleau, Mireille, Goff, Tanguy Le, Mangeney, Catherine, Laruelle, Nicolas et Darlay, Amélie. 2014. Les territoires périurbains : de l’hybridation à l’intensité ?PUCA (Plan Urbanisme Construction Architecture).

Dubois-Taine, Geneviève et Chalas, Yves. 1998. La Ville émergente, constats pour renouveler les lignes d’action publiquePUCA.

Fouchier, Vincent. 1998. Les densités urbaines et le développement durable. Le cas de l’Ile-de-France et des villes nouvelles, Paris : La Documentation Française.

Fouchier, Vincent. 1995. « La densification : une comparaison internationale entre politiques contrastées ? », Les Annales de la Recherche Urbaine, n° 67.

Ghorra-Gobin. 2006. La théorie du New Urbanism – perspective et enjeuxMinistère de l’équipement du tourisme et de la mer.

Hamelin, Eric et Razemon, Olivier. 2012. La tentation du bitume. Où s’arrêtera l’étalement urbain ?, Édition : 1, Paris : Rue de l’échiquier.

Haumont, Nicole. 1966. Les Pavillonnaires: étude psychosociologique d’un mode d’habitat, Paris : Institut de sociologie urbaine, Centre de recherche d’urbanisme, Imp. du Centre de recherche d’urbanisme.

Jaillet, Marie-Christine. 2004. « L’espace périurbain : un univers pour les classes moyennes », Esprit (1940-), n° 303 (3/4), p. 40‑62.

Le Foll et Miet. 2013. « Construire dans mon jardin et résoudre la crise du logement, cinq idées pour comprendre la filière BIMBY », Métropolitiques.

Mayoux. 1979. « Demain l’espace. L’habitat individuel péri-urbain ».

Mills. 1981. « Growth, Speculation and Sprawl in a Monocentric City », Journal of Urban Economics, n° 10, p. 201‑226.

Pinel, Sylvia. 2015. « DISCOURS de Sylvia PINEL Rencontre-débat   « Vivre et habiter dans le périurbain –  aujourd’hui et demain » ».

Portzamparc, Christian De. 2005. « Construire avec son époque », Revue des deux mondes, p. 115‑127.

Reux, Sara. 2015. Les figures de la discontinuité dans le développement résidentiel périurbain : application à la région Limousin.Bordeaux.

Roux, Emmanuel et Vanier, Martin. 2008. La périurbanisation : problématiques et perspectives, Paris : La Documentation Française.

SRU. s. d. « LOI  2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains ».

Trom, Danny. 1999. « De la réfutation de l’effet NIMBY considérée comme une pratique militante. », Revue française de science politique, Vol. 49, n° 1, p. 31‑50.

Wiel M. 2000. « Formes et intensité de la périurbanisation dans les villes françaises et aptitude à la canaliser ».

 

Publications de Saloua Toumi

Publications de Saloua Toumi

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2012

– Vidal R., Toumi S. : «Concilier alimentation de proximité et cadre de vie : l’expérience francilienne au service d’un projet tunisien». Volume 6 de la revue Environnement urbain – Urban environment. Pages 118-135. Télécharger l’article.

 

2011

– Toumi S. et Vidal R. : «Proximité entre ville et agriculture au Nord et au Sud de la Méditerranée, approche comparée entre Paris et Tunis». Revue électronique Projets de paysageAccéder à l’article.

– Toumi S. et Vidal R. : «L’expertise paysagère à l’épreuve de l’espace agricole périurbain. Aménager le cadre de vie ou nourrir le monde ?». Projets de paysageAccéder à l’article.

– Toumi S. et Vidal R. : «Espaces publics et mixité culturelle, pour un renouvellement du tourisme tunisien». Projets de paysageAccéder à l’article.

– Vidal R. et Toumi S. : «Les enjeux de l’agriculture urbaine : comparaison Paris-Tunis». Conférence illustrée par quatre posters. Creative Workshop on strategies, policies and tool boxes, UAC Project “Urban Agriculture as an Integrative Factor of Climate-Optimised Urban Development”, Technische Universitat Berlin, Casablanca / Morocco, september 23. Accéder au site de l’UAC. Télécharger poster 1poster 2poster 3poster 4.

 

2010

– Toumi S. : Entre auto-développement local et développement assisté, quelles conditions pour un projet agriurbain durable dans le Grand-Tunis ? Poster présenté aux journées doctorales d’Abies (AgroParisTech). Télécharger le poster au format A4.

– Toumi S. and Vidal R. : «A comparison of Urban Agriculture and Short Food Chains in Paris and Tunis». Urban Agriculture Magazine n° 24, septembre 2010. Pages 31-34.
Lire l’article en anglais, en espagnol, en portugais, en français.

 

– Vidal R. et Toumi S. : «L’expertise paysagère à l’épreuve de l’espace agricole périurbain : aménager le cadre de vie ou nourrir le monde ?». Colloque de l’ASRDLF “Identité, qualité et compétitivité territoriale”. Aoste, 20-22 septembre 2010. Télécharger l’article.


Participations à colloques

2010 : «Quelles conditions agro-économiques et socio-spatiales pour l’émergence d’un projet agriurbain durable dans le Grand Tunis ?». Poster présenté au séminaire “Projet de paysage et recherche”, LAREP, 6 octobre 2010. Télécharger le poster au format A4.

2011 : « Territoire en mutation et initiative locale. Un projet pour l’émergence d’une nouvelle organisation du territoire à La Soukra ». Contribution au colloque “Construire l’équité territoriale de la Tunisie”. Résumé. Télécharger la présentation.