Premiers pas

Retour

Premiers pas pour les utilisateurs de Topia

Adresse : http://topia.fr/wp-admin/

Après avoir saisi vos identifiants, vous vous trouverez sur la page d’accueil ci-dessous


1 – Cliquer sur «Articles» dans la colonne de gauche

PP1


2 – La liste des articles auxquels vous avez accès s’affiche alors. Cliquez sur celui que vous souhaitez modifier, ou cliquez sur “Ajouter” pour en créer un nouveau.


3 – Saisir (ou coller) le texte dans la zone située en dessous de la barre d’outils
Voir tutoriel “Traitement de texte
Cliquer sur le bouton (Menu) de la barre d’outils pour afficher les autres outils.
Pour valider les modifications, cliquer sur le bouton bleu «Mettre à jour»


4 – Modifier le mot de passe

Cliquer sur «Profil» dans la colonne de gauche.
Descendre tout en bas de la page et cliquer sur «Générer un mot de passe».
Entrer le nouveau mot de passe.
S’il est «Faible», cliquer sur la case « Confirmer l’utilisation d’un mot de passe faible». Éviter, cependant, les mots de passe trop faibles.
Cliquer enfin sur le bouton bleu «Mettre à jour le profil».

PP4


5 – Limiter l’accès à un article

PP5En mode «Modifier l’article» (écran de la page précédente), la «Visibilité» (indiquée en haut à droite) est par défaut «Public».

Cliquer sur «Modifier» puis sur «Protégé par mot de passe».

Entrer le mot de passe et cliquer sur «OK».


6 – Autoriser ou non les commentaires

Descendre en bas de la page jusqu’à la zone «Discussion».
Cocher ou décocher la case «Autoriser les commentaires».

PP6

Si vous cochez la case, une zone de commentaires apparaîtra en bas de votre article.

Les commentaires envoyés par les visiteurs sont envoyés à l’administrateur du site, qui vous les retransmettra. Vous aurez alors la possibilité de les afficher ou non sur votre page.


Ne pas oublier de cliquer sur «Mettre à jour» après chaque modification.

Télécharger le PDF

Tutoriel

Topia Tutoriel

Ces pages proposent quelques indications permettant aux contributeurs de mieux utiliser les fonctionnalités de Topia.

Elles sont progressivement enrichies, en fonction de vos demandes, et actualisées, en fonction de l’évolution de WordPress…


Premiers pas

Traitement de texte

Insérer une image

Insérer un document téléchargeable

Créer un nouvel article

Techniques html simples

Utiliser les ancres

Utiliser le Cloud de Topia

 
 

Nouvel article

Retour

Créer et lier un nouvel article

Il est indispensable, lorsque vous créez un nouvel article, de placer un bouton “Retour” qui permet aux visiteurs de revenir à votre page d’origine.


1 : Cliquer sur le bouton “Ajouter” en haut de la page.


2 : Taper le titre du nouvel article dans la zone où s’inscrit “Saisissez votre titre ici”

NA01


3 – Taper le mot “Retour” (ou un équivalent), le sélectionner puis cliquer, dans la barre d’outil, sur l’icone représentant une petite chaîne (Chaine)

NA02


4 – Dans la petite fenêtre qui s’affiche alors, cliquer sur l’icone représentant une roue dentée (Roue)

NA03


5 – La fenêtre “Insérer/modifier un lien” s’affiche alors. Rechercher votre page d’origine dans le catalogue déroulant. Il est possible aussi de taper un mot-clef dans la zone “Recherche” (ici, le mot-clé “page” affiche les pages personnelles). En cliquant sur la page voulue, le lien correspondant s’affiche dans la zone “Adresse web”.

Cliquer sur “Ajouter un lien”.

NA04

Le bouton “Retour” est désormais opérationnel.

 


N’oubliez pas de cliquer sur le bouton “Mettre à jour”.

Pour créer, sur votre page d’origine, un lien vers l’article que vous venez de créer, vous procéderez de la même manière.

Insérer image

Retour

Insérer une image dans un texte

1 – Cliquer sur le bouton “Ajouter un Media” situé à gauche au-dessus de la barre d’outils, après avoir placé le curseur à l’emplacement du texte voulu.


2 – Cliquer sur “Téléverser des fichiers”. Les fichiers ne doivent pas dépasser 8 Mo. Il est également possible de glisser directement une image sur la fenêtre.

02


3 – Glisser le fichier image ou cliquer sur “Choisir des fichiers”, et rechercher le fichier image souhaité.

03


4 – L’image apparaît en haut à gauche de la galerie. Vérifier qu’elle est sélectionnée et cliquer sur “Insérer dans l’article” (en bas à droite).

04


5 – L’image apparaît alors dans l’article à l’emplacement où était positionné le point d’insertion. Il est possible de la déplacer en la faisant glisser.

05


6 – Habillage de l’image

Cliquer sur l’image pour faire apparaître la barre de menu locale, puis cliquer sur l’icône correspondant à l’habillage souhaité (ici habill_icon)

06


7 – Pour ajouter un lien à l’image, cliquer sur le petit crayon pour faire apparaître les “Détails de l’image”.

Dans le menu “Lier à”, choisir “Lien personnalisé” et copier l’adresse souhaitée.

Dans la fenêtre “Attribut «Title» de l’image”, vous pouvez taper un texte qui s’affichera lorsque le pointeur survolera l’image (info-bulle).

08

Vous pouvez modifier la taille de l’image en utilisant l’une de ses quatre poignées. Évitez, cependant, de trop l’agrandir, car elle serait pixellisée. Si l’image n’est pas aussi grande que souhaité, demandez d’abord “Taille originale” dans le menu “Taille”, puis réduisez la si besoin.


8 – Supprimer les images inutilisées

Si vous importez plusieurs images et n’en utilisez finalement qu’une, il est impératif de supprimer les images inutilisées afin de ne pas encombrer l’espace de stockage (limité) de Topia.

Pour cela, retournez sur “Add Media” et recherchez la ou les images à supprimer. Si vous ne les trouvez pas, déroulez le menu intitulé “Tous les éléments média” et choisissez “Téléversés sur cet article”.

09

Sélectionnez alors l’image à supprimer et cliquez sur “Supprimer définitivement” (en bas de le fenêtre “Détails du fichier joint”).

10


9 – Réduire la taille des images

Pour un affichage sur une page web, les images n’ont pas besoin d’avoir une haute définition. Par exemple, la photographie d’Arthur Rimbaud utilisée ci-dessus mesure 220 pixels de large et occupe 29 Ko. Une image utilisant toute la largeur de la page n’a pas besoin de mesurer plus de 900 pixels de large et peut être réduite à moins de 100 Ko.

Si vous disposez d’un logiciel de traitement d’image comme Adobe Photoshop, vous avez toutes les commandes nécessaires pour réduire la taille d’une image.

11

Vous pouvez aussi, si vous travaillez sur Macintosh, utiliser le logiciel Aperçu dont la compression JPEG est plus efficace que celle de Photoshop. Ouvrez votre image sur Aperçu, demandez “Enregistrer sous”, choisissez le format JPEG et glissez le curseur vers la gauche.

Aperçu ne dispose pas de commande permettant de réduire la définition. Il est cependant possible, si votre image fait plus de 1000 pixels de large, d’en obtenir une réduction en utilisant la commande de capture d’écran.

12Affichez pour cela votre image et ajustez en la taille à l’aide des boutons – et +. Une fois obtenue la taille voulue, demandez “Effectuer une capture d’écran / À partir de la sélection” dans le menu “Fichier”, puis encadrez l’image à l’aide du pointeur de la souris. L’image sélectionnée apparaît alors dans une nouvelle fenêtre. Vous pouvez la recadrer, si besoin, avec la commande “Rogner” du Menu “Outils”.

Télécharger le PDF (non mis à jour)

UE 6 : Cultures professionnelles

UE5 <-   -> UE7

Cours (accès réservé)

 

Objectifs

Ouverture vers des champs disciplinaires et des méthodes de recherches sur et autour du paysage et du projet. C’est l’occasion de présenter différentes démarches de recherche, tant en sciences humaines et sociales « pures » qu’à l’interface avec les sciences du vivant, l’agronomie ou la géographie environnementale.

 

Contenu

Les élèves sont invités à participer à des cycles de conférences organisés sur un programme conjoint avec d’autres formations de l’ENSP (paysagistes DEP) et de l’École nationale supérieure d’architecture de Versailles (master Jardins historiques, patrimoine et paysage). Elles proposent aussi une ouverture sur l’extérieur avec des colloques du monde de la recherche en paysage.

 

Compétences à acquérir

Prendre la mesure de l’étendue des disciplines concernées par le paysage, des concepts et des thématiques actuelles, afin de pouvoir dialoguer et créer des liens entre ces disciplines.

Savoir se tenir informé sur tout ce qui concerne la recherche et les pratiques professionnelles concernant le paysage et l’aménagement spatial.

Savoir rédiger un compte-rendu critique de colloque.

 

Coordinateur

Yves Petit-Berghem (Biogéographe, professeur à l’ENSP)

 

Volume horaire

CM : 24 h, travail personnel : 8 h

 
Mode de contrôle des connaissances

Compte-rendu de colloque ou de journée de conférences, choisi par l’étudiant parmi l’offre proposée, rédigé à la façon des compte-rendus critiques des périodiques scientifiques.

 

Mis à jour le 21 avril 2016 – Télécharger au format texte

 

Paysage et Énergie

Paysage et énergie : travaux d’étudiants

 

Logo_PE_grisLes ateliers pédagogiques régionaux (APR) proposés chaque année aux étudiants de fin de cursus paysagistes DPLG leur permettent de se confronter à une commande réalisée par un partenaire professionnel. En 2015-2016, 6 APR sont initiés par la Chaire Paysage et Énergie, en lien avec des énergéticiens. Ainsi, Rte met à disposition des étudiants ses ouvrages pour travailler sur l’aménagement paysager des lignes à haute tension en Ile-de-France, dans le Nord et en Rhône-Alpes. EDF proposait de s’atteler à la valorisation des centrales de Cruas et de Richemont sur leurs territoires respectifs. ERDF et la communauté de communes Sud Côte Chalonnaise, en partenariat avec l’Agence d’Urbanisme Sud Bourgogne, ont sollicité les étudiants sur la réalisation d’un plan de paysage énergétique.

 


ENTRE CRUAS ET MEYSSE : UNE CENTRALE NUCLÉAIRE ET UN PAYSAGE
ORIENTER UN FUTUR


LA TRAVERSÉE DE L’ÎLE AUX CENDRES
AU CONFLUENT DE L’ORNE ET DE LA MOSELLE


DÉSIRS ET INVENTIONS DES PAYSAGES DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES SUD CÔTE CHALONNAISE


UNE PIERRE DEUX COUPS
L’INTERCONNEXION FRANCE-SUISSE


GESTIONS ET DYNAMIQUES SPONTANÉES
DE L’ARCHÉOLOGIE DES LIGNES ÉLECTRIQUES À LA CONQUÊTE DES FRANGES URBAINES : PROJETS À PLAISIR ET PORCHEVILLE (YVELINES)


VOIR AU DELÀ DES LIGNES
DE L’ATELIER PARTICIPATIF AU PORTRAIT DE TERRITOIRE

 

Publié dans

Iconothèque Jardins

Le Parc de Sceaux

Illustrations du XVIIe au XXe siècle

Collectées par Chiara Santini


Capturefile: F:Captures MIdF20030707NUM 94_15_1_155 CaptureSN: BR000188.013163 Software: Capture One 2.9 for WindowsAdam Perelle : Le Château de Sceaux vu du bassin de Diane (XVIIe siècle)

 

 


Adam Perelle, Salon de treillage du petit bois de Sceaux, XVIIe siecleAdam Perelle : Salon de treillage du petit bois de Sceaux (XVIIe siècle)

 

 

 


Alain Manesson Mallet_Chasteau de Sceaux du cote du jardin_XVIIe siecleAlain Manesson Mallet : Chasteau de Sceaux du coté du jardin (XVIIe siècle)

 

 

 

 


Auguste Anastasi_Le parc de Sceaux_1858

Auguste Anastasi : Le parc de Sceaux (1858)

 

 


Claude Niquet et Meunier_Le domaine de Sceaux en 1796Claude Niquet et Meunier : Le domaine de Sceaux en 1796

 

 


Huet J.-B., Vue du parterre de Sceaux du cote de la cascade_XVIIIeHuet J.-B. : Vue du parterre de Sceaux du côté de la cascade (XVIIIe)

 

 


Jacques Rigaud_Vue du chateau de Sceaux et du petit parterre qui conduit a l'Orangerie_1740caJacques Rigaud : Vue du château de Sceaux et du petit parterre qui conduit à l’Orangerie (1740)

 

 


Jacques Rigaud_Vue du chateau de Sceaux prise dans l'eloignement en face du cote de Chatenay_1740Jacques Rigaud : Vue du château de Sceaux prise dans l’éloignement en face du côté de Châtenay (1740)

 

 


Jean II Leblond_Plan de la salle des Antiques ou Galleries d'eau du Jardin de Sceaux du Dessein du Sr le Nautre_XVIIIe siecleJean II Leblond : Plan de la salle des Antiques ou Galleries d’eau du Jardin de Sceaux du Dessein du Sr le Nautre (XVIIIe siècle)

 


Nicolas Perelle (d'apres)_Les cascades de Sceaux_XVIIIe siecleNicolas Perelle (d’après) : Les cascades de Sceaux (XVIIIe siècle)

 

 


Paul-Alex Deschmacker_L’allee de la duchesse_XXe sieclePaul-Alex Deschmacker : L’allée de la duchesse (XXe siècle)

 

 

 

 


Vielh-ChereauRaymond-Augustin Vieilh de Varennes, Jacques-François Chéreau : Vue prise dans les jardins de Sceaux (XVIIIe siècle)

 

 


Vue du chateau de Sceaux entre Paris et Versailles_XVIIIVue du château de Sceaux entre Paris et Versailles (XVIIIe siècle)

 

 


Vue du chateau de Sceaux entre Paris et VersaillesIdem

 

 


UE 9 Stage

Stage de recherche ou stage professionnel

 

Objectifs

Produire un mémoire de recherche sur un sujet lié au paysage ou/et au projet de paysage.

S’appuyer sur un laboratoire d’accueil, ou un organisme spécialisé dans les questions de paysage, pour cette réalisation

Expérimenter une démarche autonome de recherche.

 

Contenu

Personalisé.

 

Compétences

Apprendre, à partir d’un sujet d’intérêt, à construire une démarche de recherche.

Acquérir une expérience de terrain, en relation avec les démarches de recherche enseignées.

Savoir rédiger un mémoire selon les normes en usage dans le monde scientifique.

Savoir construire un questionnement problématisé et une méthodologie pour y répondre (hypothèses/outils).

Positionner les questions de paysage parmi les différentes disciplines concernées.

 

Coordinatrice

Sophie Bonin, Géographe, maître de conférence à l’ENSP

 

Équipe pédagogique

Tous les enseignants du master sont potentiellement impliqués dans l’encadrement ou le co-encadrement des stages.

 

Langue d’enseignement

Adaptée au stage, sachant que le mémoire devra être rédigé en français.

 

Volume horaire

300 heures (un semestre), dont 18 heures de tutorat

 

Durée du stage

6 à 25 semaines

 

Modalité de contrôle

Le stage n’est pas évalué en tant que tel, il l’est à travers le mémoire de recherche.

Dépôt d’un mémoire (2 semaines avant soutenance) et soutenance orale. Le document écrit est évalué par le directeur du mémoire et par un rapporteur extérieur. La note de l’écrit compte double de l’oral.

La présentation orale est notée par l’ensemble des enseignants responsables d’UE et les tuteurs de mémoire réunis en jury.

Voir UE 8 «Projet de recherche»

Mis à jour le 18 avril 2016 – Télécharger au format texte

Guide du mémoire

Retour

PETIT GUIDE DU MÉMOIRE

© S. Bonin, 2014-2016

Attention : la version en ligne se déroule sur trois pages (cliquer sur “2” et “3” en bas de page)

Télécharger le PDF (version 2018)


Le contenu et la présentation du mémoire

 

Page de couverture et première page (résumés et mots-clefs)

– TITRE : le titre doit faire apparaître de manière synthétique la question traitée, le/les lieu(x) concernés, ou les auteurs ou projets étudiés. Pensez notamment à ceux qui, en bibliothèque ou par les moteurs de recherche, entreront d’abord avec ce titre. Essayez de trouver un titre fort et/ou surprenant/ou un peu provocateur/incisif. Dans tous les cas, pensez aussi que vous pouvez proposer un SOUS-TITRE où, par exemple, votre lieu de recherche apparaît.

– Cette page doit obligatoirement comporter les éléments qui sont sur le modèle ci-dessous (téléchargeable ici), bien apparents, même si vous êtes libre d’ajouter des illustrations ou une mise en page personnelle qui, comme le travail sur le titre, contribue à une « belle présentation ».

Télécharger les trois logos

 

La 1ère page du mémoire est consacrée aux résumés (10-12 lignes), en français et en anglais, et à l’indication de mots-clefs, en français et en anglais également, entre 5 et 10.

Ces mots-clefs ont pour objectif de permettre à une personne intéressée par une question, un terrain, un sujet proche du vôtre, de vous « trouver » dans les bases documentaires. Il faut donc des mots simples, précis, et justes par rapport au contenu de votre mémoire. Ils viennent éclaircir et compléter votre titre, et pas le répéter.

Remerciements

Ils peuvent apparaître au début du mémoire, avant le sommaire, ou après; ou à la fin du mémoire, en dernière page.

Sommaire

– Avec un n° de page en bout de ligne (plan + annexes + tables + glossaire + bibliographie). Ce rappel n’est pas inutile car il n’est pas rare que la pagination soit oubliée dans le sommaire et plus largement dans le document ……. !

– Le sommaire est indispensable pour avoir une vision globale du rapport. Un rapport bien construit se révèle dans le sommaire. Pour chaque Partie, Chapitre, Paragraphe, il faut s’efforcer de renseigner les titres (« titre idée »). Le sommaire doit donc se lire de manière limpide et montrer une progression dans le raisonnement développé tout au long du rapport.

– Si le mémoire est très découpé, il n’est pas nécessaire d’indiquer toute la hiérarchie. Un équilibre doit être trouvé pour faire passer l’essentiel de l’argumentaire sans « noyer » le lecteur.

– Les titres présentés dans le sommaire sont identiques à ceux du corps du texte : pensez à le vérifier au moment de la dernière lecture, indispensable.

Introduction générale (elle ne donne pas lieu à un titre)

– Le contexte de l’étude, qui peut éventuellement être personnel : contexte du mémoire dans votre formation, insertion dans le cursus ; ou attaquer directement le sujet choisi, en partant d’enjeux généraux.

– Choix et justification du sujet, de son intérêt par rapport à d’autres travaux proches dans leur démarche ou dans leur objet.

– Construction d’un questionnement qui deviendra le fil conducteur de la réflexion (encore appelé « problématique »).

– Méthodes et outils (ex. travail de terrain, sources documentaires, entretiens, bibliographie, etc.).

– Limites de l’étude (ce que le lecteur ne trouvera pas dans votre mémoire…)

– Annonce du plan (uniquement les grandes parties).

Le contenu de l’introduction est très important : il donne (ou non !) l’envie, au lecteur, de poursuivre la lecture du document. Souvent, on l’écrit en dernier.

Structuration du développement

– Rechercher cohérence et clarté dans la structuration du plan (équilibre du plan, logique dans le déroulement de l’argumentation)

– Hiérarchiser les titres : Partie (I) Chapitre (1) Paragraphe (a).

– La structuration du plan est pensée dans une logique de démonstration et d’argumentation afin de « résoudre » le questionnement général. Le plan idéal déroule une logique de démonstration, en lien direct avec le sujet traité, par thématique ou sur un schéma : contexte/méthode/résultats/discussion, qui est le « plan-type » des publications scientifiques anglophones ; mais les sciences de l’Homme et de la Société françaises résistent assez bien à ce modèle ! On considère en effet qu’il est en général préférable d’éviter les plans-types, mais, lorsque le sujet s’y prête bien, il ne faut pas non plus les refuser. Exemples de plans bêtes mais qui peuvent s’avérer très efficaces, et être suivis s’ils sont amenés avec subtilité) : thèse/antithèse/synthèse ; atouts/faiblesses ; global/local ; cas 1 / cas 2 / comparaison cas 1 et 2…

– Travailler les titres pour qu’ils ne soient pas interchangeables et qu’ils expriment les étapes de votre raisonnement et les idées principales contenues dans le corps du texte. Ils évoquent le contenu des paragraphes qu’ils encadrent (nécessité d’en choisir la formulation définitive après avoir rédigé le texte). Mieux vaut un titre fort (provocateur, incisif, …) mais imparfait ou ne reflétant qu’un aspect seulement du développement dont il va être question, qu’un titre conforme, “académique”, consensuel, mais mou et fade !

– Rédiger une introduction et une conclusion pour chaque grande «Partie» : en lisant simplement les introductions et les conclusions ainsi emboîtées, le lecteur peut comprendre l’essentiel de la démarche et les résultats les plus importants. Tout comme le sommaire, les introductions et les conclusions constituent le squelette et la structure du mémoire.

– Soigner les transitions entre les chapitres (souligner la continuité de la démonstration et de l’argumentation).

– Mettre en valeur les illustrations originales (cartes, photographies,…) produites par vos soins, les insérer de façon pertinente au regard du texte de façon à ce qu’elles entrent en résonance avec celui-ci.

Conclusion générale (elle ne donne pas lieu à une page de titre)

Rédiger une conclusion est un exercice difficile, celui dont la rédaction devrait être la plus soignée. Il faut à la fois résumer les idées auxquelles vous avez abouti et qui vous semblent les plus intéressantes/les plus neuves, prendre le lecteur par la main une dernière fois, pour lui dire : « vous avez compris… C’était ça… » Mais il faut aussi considérer que le lecteur a (normalement !) déjà compris et retenu ce qu’il y avait dans votre développement, et lui apporter donc un supplément de réflexion, qui vient souvent d’une ouverture de votre sujet vers d’autres horizons, d’autres approches.

Quelques pistes pour la conclusion :

– mettre en relief certains résultats qui vous semblent importants et notamment ceux qui permettent de répondre à la problématique.

– proposer des comparaisons avec d’autres régions ou d’autres projets qui mettent sous un jour différent votre sujet, ou proposent des orientations originales.

– souligner les limites de l’étude et les difficultés rencontrées.

– profiter de la conclusion pour indiquer quelques pistes que vous n’avez pas pu traiter, pour ouvrir sur des questionnements, non abordés dans le présent dossier. – enfin, notez qu’une conclusion peut ne pas s’appeler “Conclusion”, ou s’appeler : “Conclusion”, suivi d’une phrase…).

Bibliographie et sources

– L’ensemble des documents utilisés dans le mémoire doivent être référencés dans la bibliographie, et classés par ordre alphabétique des noms d’auteurs.

– Il est préférable de ne pas diviser la bibliographie en catégories, de thème ou de type (ouvrage/article etc.) surtout au niveau d’un mémoire de Master 2, à moins qu’un objectif important de votre travail soit de construire une bibliographie.

– Les sources (à distinguer de la bibliographie proprement dite) recouvrent, par exemple, des documents imprimés (documents publicitaires, journaux locaux), des documents d’archives (cartes et cartes postales anciennes, gravures, plans, photographies, cadastres anciens, cartes IGN anciennes), des statistiques (RGA, RGP, inventaires communaux), des documents graphiques (plans d’urbanisme, plans de paysage, chartes de PNR, cartes IGN actuelles, cartes géologiques, pédologiques, sensibles), des sites web, des documents audiovisuels etc.

– Respecter les normes de présentation (typographie et classement des documents).

Bien prendre soin de relever les références exactes des ouvrages et sources au fur et à mesure qu’on les trouve ; au moment de la rédaction, il sera trop tard pour retrouver les références précises.

Glossaires (si nécessaire)

– Glossaire des termes techniques ou notions utilisés dans le mémoire.

– Glossaire des sigles (Ex. ZNIEFF, SAU, PLU…).

– Glossaire du vocabulaire local

– Etc.

Tables (si illustrations abondantes)

– Distinguer, si les illustrations sont abondantes, une table des figures (cartes, schémas, dessins), une table des tableaux, et une des photographies.

– Les tables listent ces différents types de documents et renvoient à la page où ils sont utilisés.

– Chaque document doit être numéroté dans le corps du texte.

Annexes

– On peut y insérer tout document méthodologique (ex. questionnaire d’une enquête) ou autres documents « sources » utilisés dans le cadre de la démonstration (ex. tableaux de statistiques, extraits de documents d’urbanisme etc.). – Il ne faut pas abuser des annexes : elles ne sont pas indispensables à la compréhension du texte et sont des documents bruts (des « plus » offerts au lecteur). N’oubliez pas que le lecteur lit rarement ou rapidement les annexes. Donc, quand vous le pouvez, basculez dans le corps du texte ce que vous vouliez mettre en annexe. Les annexes sont une paresse et une facilité, et en plus, elles dévalorisent ce qu’on y place ! Mais elles peuvent prendre une vraie signification en cas de document particulièrement original dont on veut donner une édition complète.

– Seule la première page des annexes est paginée (la pagination du document s’arrête à la première page des annexes) mais toutes sont numérotées (Annexe n°1, 2, etc.).

Le document final attendu, hors annexe, est de l’ordre de 50 pages rédigées ; la part laissée aux illustrations peut bien entendu faire varier cet objectif.

Suite page 2…