23 – Plaisirs des fêtes au Potager du Roi

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Chapitre 23

Plaisirs des fêtes au Potager du Roi (1960-67)

Le bizuthageLes bals – la Garden Horti – La Nuit de l’HortiLes « surbooms » du caveauL’horticulture, une culture versaillaise

Le Potager du roi ne fut pas seulement un lieu de productions fruitières et légumières destinées aux cours royales et impériales. À partir du moment où il devint un jardin école en 1874, on s’y amusa, avec sans doute moins d’éclats que dans les bosquets du parc du château voisin avant la Révolution.

À partir de 1927, une centaine d’élèves ingénieurs habitèrent en permanence la nouvelle « coopérative » qui devint ensuite le foyer des élèves jusqu’en 1974. Ils ne consacraient pas tout leur temps à l’étude et aux travaux dans le Potager. Ils faisaient la fête régulièrement dans le Potager et ailleurs. Mais de ces festivités étudiantes, la mémoire a été presque effacée. Pourtant, il en persiste quelques traces dans les archives de l’ENSH et les souvenirs des anciens élèves. Elles concernent surtout les années 1950 et 1960.

Le bizuthage

Un Ancien (un Poto) témoigne :

« C’était la rentrée. Les cours venaient de commencer en ce début du mois d’octobre. L’air était doux et la terre des carrés, humide de récentes pluies, collait aux chaussures. La récolte des pommes et des poires dans le Potager battait son plein. Jardiniers et élèves de première année mobilisés faisaient connaissance en cueillant les fruits mûrs sur les arbres taillés en espalier du Grand Carré. Un « travail » facile et plutôt agréable. Les cagettes de fruits étaient remplies avec précaution puis transportées par un chariot usé au moteur fatigué jusqu’aux chambres froides où elles allaient passer l’hiver. Je découvrais l’univers clos de l’école d’horticulture du Potager du roi, un Graal enfin conquis après deux ans de bachotage dans les classes préparatoires aux Grandes Écoles.

La veille, ils nous avaient réuni dans le vaste réfectoire après le diner. On était une quarantaine, garçons et filles, y compris les « cuscutes », celles et ceux qui préparaient le concours de la Section du paysage et de l’art des jardins. « Ils » c’était nos anciens (les « Potos »), les élèves de deuxième et troisième années. Le président du cercle des élèves et celui des deux promotions nous avaient averti : « Demain commencera le bizuthage, vous (les « Bleus ») êtes à notre disposition pendant une semaine. Après votre baptême, vous ferez vraiment partie de la communauté du Potager ». Nous n’avions pas le choix …

Pour en avoir fait l’expérience en classes préparatoires je savais ce qu’étaient ces brimades plutôt drôles quand il s’agissait de choquer les passants dans les rues en braillant des chansons paillardes et en faisant sonner le cor de chasse sur la place publique. Au Potager du roi je ne savais pas ce qui allait nous arriver. J’avais tenté de me renseigner auprès des plus anciens : « Vous verrez bien, c’est plutôt marrant », répondaient-ils mi-figue, mi-raisin. L’omerta régnait. Pas moyen de savoir ce qui nous attendait.

Ils commencèrent par nous apprendre quelques chansons « potagiques » écrites sur des papiers ronéotés. Puis on passa aux brimades gentilles : astiquer les passages cloutés de la rue de Satory, qui n’avaient pas encore été remplacés par des bandes blanches ; déclamer des textes sans queue ni tête, ou un peu lestes, devant la statue du général Hoche sur la place homonyme, et faire entendre sur la place d’Armes, devant le château, fermement encadrés par nos anciens, les hymnes potagiques. Rien de bien méchant.

À l’intérieur du foyer des élèves, c’était un peu différent. La rigolade extérieure était remplacée par des épreuves très « éprouvantes ». Chaque nuit ou presque, le fracas des boules de pétanque qui roulaient dans le long couloir du premier étage, nous réveillait d’un sommeil agité. On essayait de se rendormir, puis ça recommençait … On se consolait en se disant qu’eux aussi ne pouvaient pas dormir. C’était épuisant et le lendemain pendant le cours de chimie tout aussi éprouvant d’Alfred Anstett, les paupières se fermaient. Mais on ne disait rien, soumis et abrutis.

Un soir, je crus à un répit salutaire. Mais, vers 22 heures, quatre énergumènes, excités et un peu ivres, nous firent sortir de nos chambres avec l’idée saugrenue d’ « entasser » trente d’entre nous dans une chambre prévue pour quatre. Pour le plaisir et pour voir… Au bout d’une demi-heure, on suffoquait, mais sans aucun signe de révolte. La porte avait été fermée à clé. Que ne devait-on pas endurer ! Il fallut l’évanouissement de l’un d’entre nous pour mettre fin à cette torture née dans des cerveaux fêlés.

Nous n’étions pas au bout de nos peines. Heureusement les plus sages de nos tortionnaires nous laissaient penser, à demi-mot, que la fin de nos malheurs était proche. Un autre soir, on nous fit descendre à la nuit tombée, un par un dans le sous-sol. Et, étalé sur une table, fermement tenu par des mains complices, chacun dut absorber avec un entonnoir un liquide infect que lui administrait jusqu’à l’étouffement un sinistre bourreau invisible.

C’était trop, j’envisageais une rébellion violente et solitaire. On me raccompagna au rez-de-chaussée, titubant et furieux. Je me retrouvais dans la bibliothèque où je découvris, stupéfait, un groupe d’anciens réjouis et amicaux qui m’accueillirent avec des sourires réconfortants inattendus. J’avais surmonté les épreuves initiatiques. Bravo. J’étais des leurs. Vive l’Horti.

Le bizutage se termina par une fête mémorable à l’intérieur de la grotte du parc Balbi éclairée par des torches comme au XVIIIe siècle. Le vin et la bière coulèrent à flot. On chanta et on écouta, soulagés, des discours de bienvenus. La nouvelle promotion était enfin admise dans la communauté étudiante potagique.

Procession des « bizuths » vers la grotte du parc Balbi pour leur « baptême », années 1930. Archives ENSH/P.

Cérémonie du « baptême » par les anciens cagoulés en présence de la marraine de la promotion. Au premier plan les bizuths « prosternés », années 1930. Archives ENSH/P.

Baptême de la nouvelle promotion dans la grotte du parc Balbi, au centre le « bourreau » et, avec le chapeau, peut être le directeur Joseph Pinelle, début des années 1930. Archives ENSH/ENSP

Pourtant la violence de cette initiation laissa des traces. Excédée, une promotion mit fin à la transmission du rite du bizuthage dans les années 1960. Elle décida de ne pas le reconduire l’année suivante. Mais, tenace, il réapparut quelques années plus tard sous une forme plus soft. » (Jacques de Monceau)

Les bals – la Garden Horti – La Nuit de l’Horti

Dans les années 1950, des bals fréquents étaient organisés par le Cercle des élèves, au Palais d’Orsay à Paris en 1954 : « À partir de 22 h les couples dont l’élégance contribuait à l’éclat de la soirée purent évoluer au son de l’orchestre Valentin (…), la soirée était animée par la verve et l’humour du chansonnier Edmond Meunier ; puis à 23 h 30 réception des personnalités »1.

En 1956, le Bal des « Potos » le 18 février, et le 21 avril le « Bal des fleurs » à l’hôtel de ville de Versailles sous le haut patronage du Président de la république2. En 1957, le 16 novembre, le « Bal des Bleus » à la suite du baptême de la 83e promotion. Le Cercle des élèves et son comité des fêtes ne chômaient pas.

Affiche de la Garden Horti, (1962). Fonds Allain Provost, archives ENSP/ENSH

En mai 1962, fut organisée une gigantesque « Garden Horti » au Potager du roi. Cette Garden Party réunissait une exposition de bouquets (la IIéme du nom) dans la bibliothèque, un spectacle de variétés (avec Roger Pierre et Jean-Marc Thibault, Anne Sylvestre, Jean Ferrat, entre autres) dans le Parc Balbi, un bal avec l’orchestre « Jazz » de Claude Luter, puis un cabaret sous les voutes, une tombola permettant de gagner une Simca 1000, un buffet, « un éclairage artistique »  du potager et des voutes…. Renouvelées pendant quelques années avec de jeunes artistes (Jacques Brel, Barbara, Georges Brassens …), elles restèrent inégalées dans les mémoires.

Extrait de « Garden Horti ENSH », 1962. Fonds A. Provost, Archives ENSP/ENSH Versailles.

Puis fut inaugurée la Nuit de l’Horti. Les préparatifs commençaient dès la rentrée, car la « Nuit de l’Horti » était prévue en décembre chaque année. Le comité des fêtes, renouvelé chaque année, et réunissant les énergies de quelques élèves de deuxième année, avait fait son apprentissage l’année précédente. En pratique pendant trois mois, le président du cercle et celui du comité des fêtes brillaient par leurs absences aux cours et aux travaux pratiques. Mais l’indulgence du directeur adjoint Jean Pasquier leur était acquise.

Affiche de la nuit de l’Horti (1965 ou 1966). Fonds A. Provost, archives ENSP/ENSH.

La Nuit de l’Horti, c’était d’abord un bal populaire sous un vaste chapiteau installé dans la cour du foyer aux multiples salles décorées pour l’occasion. Sans compter les voutes illuminées du Potager qui étaient ouvertes au public.

Il fallait donc, dès l’année scolaire précédente, retenir les orchestres et les artistes qui allaient attirer le public. On accueillit des artistes de cabaret, et l’orchestre de Stéphane Grappelly.

La logistique était importante. Pour éclairer et chauffer le chapiteau et le Potager, on avait recours aux générateurs électriques des militaires des casernes de Satory et des Mortemets, qui se prêtaient volontiers à un échange de services (entretenir leurs massifs de rosiers). Puis il fallait louer le chapiteau avec un parquet de danse grâce à l’entremise de l’éleveur de moutons qui louait les prairies du château à la Porte Saint-Antoine.

L’essentiel c’était la décoration du sous-sol du foyer et des voutes des terrasses, expérimentée et reconduite depuis la Garden party de 1962. Les élèves s’y prenaient très tard mais avec passion. Depuis l’entrée de la cour était ménagé sous les terrasses un parcours pittoresque agrémenté de fruits, de citrouilles, poireaux, carottes et autres légumes d’hiver superbement mis en valeur sous les voutes éclairées au même titre que l’ensemble du grand Carré. Ici on avait reconstitué une ambiance de grottes baroques, là organisé une exposition des travaux d’élèves et des collections d’insectes, d’herbiers, de fruits et de légumes dans un décor exubérant de fougères arborescentes, d’orchidées et de palmiers.

La Nuit de l’Horti était très connue grâce à ses affiches qui inondaient à la fin de l’automne les murs de la région ouest de Paris. Elle devait tenir la comparaison avec la Garden Party de l’École d’agronomie de Grignon qui en était la réplique en juin dans un cadre tout aussi prestigieux que celui du Potager du roi. L’honneur de l’ENSH était en jeu …

Le jour J la vie scolaire s’arrêtait à l’école. Chacun rejoignait son poste pour achever fébrilement les ultimes préparatifs : réceptions des livraisons de boissons et de fleurs venues de la Côte d’azur, installation des buffets et de la billeterie, mise au point des éclairages du plateau d’orchestre, montage des expositions, signalétique pour le public, réglage du chauffage de la tente, accueil des artistes … Puis le soir, le public affluait et se diluait dans les parcours à travers les voutes et les salles décorées et illuminées. L’orchestre et les artistes mobilisaient l’attention. Puis le bal devenait le centre d’intérêt. La Nuit de l’Horti s’achevait au petit matin glacé libérant enfin les élèves épuisés mais ravis.

Ensuite, en quelques jours, il fallait démonter, ranger, nettoyer et reprendre le rythme scolaire. Et dès le début de l’année suivante, le programme des festivités se poursuivait. Le comité des fêtes ne pouvait se reposer sur ses lauriers.

Les « surbooms » du caveau

Témoignage

« Quand le week-end arrivait, il fallait se détendre, se dépayser, se distraire surtout en hiver. Copier des cours sous la dictée fastidieuse des enseignants, suivre les manips des travaux pratiques de chimie, de génétique ou de botanique, ou participer aux visites de serres, de pépinières ou de vergers manquaient un peu d’attrait. Parfois c’était franchement rébarbatif. Mais nous étions là pour ça et nous l’avions en général choisi. C’était l’ordinaire de notre séjour au Potager du roi.

Confinés dans le foyer des élèves pendant la semaine, quelques-uns s’échappaient vers Paris dès le vendredi. Mais la majorité restait à Versailles, loin de leurs familles, avec pour seules perspectives le sport d’équipe dans les stades de la ville ou les cinémas. L’entretien des jardins privés versaillais offrait également un loisir laborieux apprécié de quelques privilégiés.

C’est pourquoi le comité des fêtes prenait en charge l’organisation de réjouissances régulières dans le sous-sol du foyer, le « caveau ». Dans ces « surprises-parties » du samedi soir, rien n’était vraiment surprenant. Tous ceux qui descendaient depuis leurs chambres savaient y trouver ce qu’ils en attendaient. En priorité des boissons alcoolisées en quantité non limitée, mais également des partenaires pour danser. Et puis peut être la convivialité et le débordement que ne leur apportait pas la vie d’élève ingénieur ou paysagiste, un peu trop policée et hiérarchisée à leur goût.

Les jeunes filles, qui habitaient dans un foyer de la rue Borgnis-Debordes, n’étaient pas très nombreuses à l’école. Si bien que pour remédier à un déséquilibre regrettable sur la piste de danse, le comité des fêtes avait recours à une invitation permanente des élèves de l’école d’infirmières du boulevard Saint-Antoine. Elles venaient régulièrement aux soirées, sans se faire prier, sauf quand la concurrence (déloyale) des invitations des élèves de l’école de Grignon se faisait sentir.

On dansait le twist, le tcha-tcha-tcha, le jerk et le rock, le slow également … jusque tard dans la nuit. On buvait beaucoup, sans doute un peu trop, en se couchant et en se levant très tard. Certaines années, la consommation nécessita même le recours permanent à des barriques de vin entreposées dans le caveau…Ces soirées étaient souvent bruyantes surtout pour les voisins de la rue Hardy, car on laissait ouvert les soupiraux pour renouveler l’air, même l’hiver. Et régulièrement, le gérant du foyer nous faisait connaitre avec résignation les plaintes impuissantes adressées au commissariat de quartier. Comble d’infortune, ce local occupait une partie du foyer des élèves sur le pignon donnant sur la rue de Satory. » (Jacques de Monceau)

L’horticulture : une culture versaillaise

À cette époque, l’ENSH était le seul établissement d’enseignement supérieur de la ville. Elle en était fière et organisait régulièrement avec les élèves de l’ENSH des manifestations publiques sur le thème du végétal horticole. Car les établissements horticoles et paysagistes étaient nombreux depuis le XIXe siècle dans toute la Seine-et-Oise et soutenaient financièrement ces fêtes : les entreprises Georges Truffaut et Moser à Versailles, Croux à Chatenay-Malabry, Monnier à Orgeval, Roussel à Chatou, Moreux à Noisy-le-Roi, Vilmorin à la Verrière, Thuilleaux à La Celle Saint-Cloud, Allavoine à Jouy-en-Josas …

En 1967, fut organisé un « Gala de la Rose » à Versailles. Il s’agissait de célébrer la beauté des fleurs et de leurs arrangements dans un concours international de bouquets qui se tenait dans les salons de l’hôtel de ville. En présence, dans le jury, des meilleures représentantes du bottin mondain versaillais et parisien : la Duchesse de Brissac, l’ambassadrice du Japon … succédaient, cinq ans après la « Garden Horti » de 1962, à Jean Cocteau et Louise de Vilmorin (entre autres).

Puis, dans la salle du cinéma Le Cyrano, devant le Tout Versailles réuni pour l’occasion, un défilé de mannequins « habillés » de différentes variétés de roses fut mis en scène avec les commentaires des élèves, bref une haute couture horticole sans comparaison possible. Bien que déjà âgé, le peintre japonais Fujita avait prêté son talent pour illustrer la couverture du programme.

Le Potager devint grâce à ces fêtes célèbres le théâtre versaillais permanent des activités des étudiants, des enseignants et des jardiniers. Cette communauté transmettait ses traditions et ses rites mais renouvelait également ses règles et innovations d’une promotion à une autre3. Les étudiants comme les enseignants, qui étaient souvent d’anciens élèves, partageaient un langage professionnel et des valeurs propres. Ils furent, au moins jusque dans les années 1990, réunis par une connaissance scientifique, technique et artistique du végétal et de ses usages alimentaires, industriels et décoratifs.

Les « Hortis », ainsi appelait-on les ingénieurs horticoles, aimaient les plantes, la botanique, la biologie végétale, la technique horticole et l’art des jardins et du paysage. Ils se considéraient comme différents de leurs cousins agronomes et forestiers. L’horticulture était devenue pour eux une « mécanique de précision » qui exigeait des talents et une formation particulière. Ils en étaient les cadres légitimes tant dans le domaine de la production horticole, de la protection des végétaux que des aménagements paysagers.

Puis, en 1993, par la volonté gouvernementale, furent créés deux pôles distincts nationaux d’enseignement et de recherche d’excellence, l’un consacré au végétal (à l’Horticulture et au Paysage) à Angers (Végépolys en 2020), l’autre au Paysage et à l’Art des jardins au Potager du roi à Versailles avec l’ENSP.

Le centre d’Angers d’ Agrocampus ouest a actualisé l’ancienne formation versaillaise d’ingénieur horticole (1873-1974). Et à Versailles la durée de la formation de l’ancienne Section du paysage et de l’Art des jardins de l’ENSH (1945-1974) a été portée de 2 à 4 ans, puis récemment à trois ans.

Les deux diplômes au niveau du bac+ 5 ans (d’ingénieur -spécialité paysage- à Angers et du diplôme d’Etat de paysagiste à Versailles) donnent accès depuis 2016 au titre professionnel de paysagiste concepteur.

Les deux écoles n’ont-elles pas compris qu’il existait deux chemins un peu différents pour répondre à une question posée depuis le XVIIIe siècle : « L’apparence (du monde) n’est pas le contraire ou le masque de la réalité. N’est-elle pas ce qui ouvre ou ferme l’accès à la réalité d’un monde commun ? »4 ?

P. Donadieu

17 février 2020


Bibliographie

Pierre Donadieu, Histoire de l’ENSP, https://topia.fr/2018/03/27/histoire-de-lensp-2/


Notes

1 Jacques Dubost, 78e, président du cercle des élèves. Bulletin de l’association amicale des IH et des anciens élèves de l’ENH, n°23, 1954.

2 Bulletin, …, N° 27, 1956.

3 La Garden Horti de 1962 marquait le passage de l’ENH à l’ENSH en 1961, ainsi que l’agrément du titre de paysagiste DPLG la même année.

4 Jacques Rancière, Jardins subversifs, le Temps du paysage. Aux origines de la révolution esthétique. La Fabrique éditions, 2020.

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