POPSU P45 Exploitations

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Exploitations agricoles sur le «territoire» de Magny-en Vexin

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1 : De Magnitot Denys – La Louvière, 95420 OMERVILLE – Tél : 01 34 67 72 99

 

2 : Gandon (EARL) – 2 rue des Tourelles, 95420 MAGNY EN VEXIN – Tél : 01 34 67 25 82

 

3 : Aubette – rue Velannes, 95420 MAGNY EN VEXIN. Tél : 01 34 67 08 54

 

4 : Aube Frères (GAEC) – Route de la Vallée, 60240 PARNES Tél : 03 44 49 91 25

  

5 : Beernaert Joseph et Jean GAEC – Ferme St Thomas 95420 ARTHIES. Tél : 01 34 67 13 67

 

6 : Chemin Neuf – la Bergerie, 95710 CHAUSSY. Tél : 01 34 66 99 85 / 06 79 28 33 12

 

7 : GAEC Croix Bouquet – 10 rte Bray et Lu, 95710 CHAUSSY. Tél : 01 34 67 76 26

 

8 : Benz Frêres (SCEA) – d’Enfer 18 r Calvin, 95420 WY DIT JOLI VILLAGE. Tél : 01 34 67 06 19

 

9 : E A De Beaugrenier (S C) – Beaugrenier r Libération, 60240 MONTJAVOULT. Tél : 03 44 49 91 51

10 : De L’Hotel Dieu (E-A-R-L) – Grande Rue, 95750 LE BELLAY EN VEXIN. Tél : 01 34 67 42 72

 

11 : La Vieux Ville (Earl) – 5 r Tilleuls, 95420 LA CHAPELLE EN VEXIN. Tél : 06 70 91 20 07 / 01 34 67 07 18

12 : La Ferme de Buhy (EARL) – 2 Grande Rue, 95770 BUHY. Tél : 01 75 81 07 70 / 01 34 67 60 21

 

13 : Elie – rte Pont d’Aincourt, 60240 PARNES. Tél : 03 44 49 91 12 / 03 44 49 91 04

14 : Laroche Pascal – L’Aunay, 60240 PARNES. Tél : 03 44 49 90 16

 

15 : Des Coudrais – Beaugrenier 14 r Coudrais, 60240 MONTJAVOULT. Tél : 03 44 49 93 47

 

16 : E.A.R.L. du Prieuré – 22 r Robert Roussey, 60240 BOUCONVILLERS. Tél : 03 44 49 04 81

 

17 : Les Fraises De Cléry – 7 r Batiment, 95420 CLÉRY EN VEXIN. Tél : 01 34 67 46 49

 

18 : Du Puits Romain (EARL) – 9 r St Romain, 95420 WY DIT JOLI VILLAGE. Tél : 01 34 67 47 69

 

POPSU P45 Photos aériennes

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Les photographies aériennes présentées ci-dessous sont extraites du site “Remonter le temps” de l’IGN. Elles ont été converties au format JPG et compressées afin d’être plus légères à manipuler (entre 1 et 6 Mo). Vous pouvez donc obtenir des images de meilleure qualité en les téléchargeant directement sur le site de l’iGN. Sachez qu’elles pèseront dix fois plus lourd et seront au format JPEG-2000 (.jp2), qui n’est pas lisible sur tous les supports.
Si vous opérez des montages avec plusieurs photos, envoyez-moi vos fichiers (jpg compressé, svp) pour que je les place ici. Cela pourra éviter à certains de vos collègues de refaire le même travail.
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POPSU P45 Cartes

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Carte de Cassini : Magny-Ouest (1740)

 

Carte de Cassini : Magny-Est (1740)

 

Carte de l’état-major : Magny-Nord (1866)

 

Carte de l’état-major : Magny-Sud (1866)

  

 

Cartes de la vallée de l’Aubette

Télécharger :
Carte géologiqueLégende
Carte pédologique
Registre parcellaire graphique 2018
Carte des ZNIEFF
ZNIEFF Aubette amont

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Table des matières

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Pages 1 à 99

Pages 100 à 199

Pages 200 à 291

Pages 292 à 391

Pages 392 à fin

 


Extraits – Plans et cartes datés

Cliquer sur l’image pour l’agrandir, sur le lien pour télécharger le pdf

Plan de l’étude Devaux, 1905 (p. 346)

Plan d’alignement Barthélémy, 1836 (p. 344)

Cadastre 1819 (p. 92)

Route de Rouen en 1776 (p. 85)

Plan de 1758 (p. 136)

 

Plan Potiquet de 1725 [réalisé en 1874] (pp. 14-15)
Voir / télécharger le plan sur Gallica

Magny-centre, extrait du Plan Potiquet (p. 108)

Le Prieuré (près de l’église), extrait du Plan Potiquet (p. 25)

Seigneurie de Magny en 1714 (encart pp. 224+225)


 

Extraits – Images diverses

Cliquer sur l’image pour l’agrandir, sur le lien pour télécharger le pdf


Image de couverture

“Tableau peint pour les propriétaires de la maison blanche au fronton triangulaire qui en occupe le centre. L’existence, sur l’un des piliers, de l’inscription Ville de Magny, permet de le dater avec une certaine précision. Peinte en grosses lettres, vers 1818-1820, à l’initiative du maire, H. Santerre, aux quatre entrées de la ville, elle suscita tant de quolibets de la part des voyageurs que, lorsqu’on refit en 1837 le numérotage des maisons, on décida de l’effacer. Malgré la déformation des piliers, le tableau est extrêmement intéressant en ce sens qu’il est un symbole de la ville. La diligence qui y pénètre au grand galop montre son rôle d’étape. Les champs à l’arrière-plan, la femme et la fillette qui portent les mêmes vêtements que les paysannes des alentours, la charrette et les gerbes déposées au pied du pilier de droite témoignent de ses caractères ruraux. (Coll. part.). Cliché J.-C. Le Barbenchon.”

 

Fouilles archéologiques (p. 17)

“À gauche, tranchées de sondages effectuées en 1992-1993 à la limite de Magny-en-Vexin et de Hodent, au lieu dit Le Champ des Cosaques, par Franck Sumera et son équipe. Elles ont permis de dégager un ensemble de bâtiments utilitaires occupés au plus tôt au milieu du 1er siècle après Jésus-Christ et abandonnés dès le début du 3e siècle.”

 

 

Magny sur la Chaussée César (p. 19)

“Dessin simplifié de la Table de Peutinger. La chaussée Jules-César de Lutèce à Rouen (Rotomagus) montre l’emplacement de Petrumviaco* (Dessin de J. Sirat). La Table originale est conservée à la bibliothèque de Vienne.” * L’emplacement de Magny-en-Vexin (selon certains auteurs)

 

Drapier au XIVe siècle (p. 30)

Les fortifications de Magny (p. 34)

Densité des masses parcellaires d’après le cadastre napoléonien (p. 35)

Photographie aérienne oblique de Magny, non datée (p. 60)

Porte de Beauvais (p. 61)

“La porte de Beauvais, qui, d’après Potiquet, auteur de ce dessin, était différente des autres, et en apparence plus simple et un peu plus ancienne. On y voit le chemin de sortie, deux tours de défense, l’une ronde, l’autre parallélépipédique et, derrière, l’un des bâtiments du couvent des Cordeliers.”

Le pilier des tanneurs (p. 65)

“Dans l’église de Gisors, le pilier dit des tanneurs, édifié en 1526, restitue quelques-uns des gestes de cette corporation, et témoigne de l’importance du travail du cuir dans les petites bourgades.”

Place d’Armes, vue aérienne, non datée (p. 74)

“Vue aérienne du quartier de la place d’Armes. En bas, à droite du pignon de la maison blanche à trois niveaux, vers le centre, un ancien manoir à tourelle (Cour des Magnan). En bas à gauche, le manoir de la rue de Villeroy, dont on ne voit la tourelle que de la rue de la Poste.”

Mémoire sur la nécessité de rétablir la grande route de Paris à Rouen qui passe par Magny (1761) : format texteformat PDF

Place d’Armes, photographie s.d. [fin XIXe ?] (p. 100)

La vieille Halle du XVIIe siècle, tableau (p. 113)

Place Potiquet, début XXe (p. 123)

Porte de Vernon en 1725, reconstitution (p. 181)

Porte de Rouen en 1725, reconstitution (p. 181)

L’Aubette en carte postale, sans date (p. 191)

L’ancienne halle (démolie en 1880) “dessinée par un contemporain” (p. 196)

“La partie basse charpentée était soutenue par 33 piliers s’échelonnant sur trois rangs. A l’étage se trouvaient les chambres à grains. On notera le caractère très dissemblable des façades est et ouest : l’une à fronton triangulaire ouvert d’une horloge et de deux oeils-de-boeuf l’autre à fronton curviligne sommé d’un pignon triangulaire.”

L’hôtel de Brière fin XXe (s. d.) (p. 198)

Porte de Paris en 1725, reconstitution (p. 203)

Plan d’aménagement de la Porte de Paris, 1778 (p. 204)

La Porte de Paris en 1913, photo (p. 206)

Vue prise de la porte de Paris, par A. Maugendre, 2nd Empire (encart pp. 224+225)

Document du XIXe siècle, “qui restitue la façade de l’immeuble où se situe aujourd’hui le Bon Diable. Le pignon à chaîne de pierre, avec sa couleur rose et son cadran solaire, est peut-être du XVIIe siècle. Au-dessous, la boutique dans laquelle on aperçoit une silhouette de femme avec une coiffe, abritait un marchand de vins et le bureau de la voiture de Gisors. On peut donc imaginer que la place de la Halle était beaucoup plus colorée qu’aujourd’hui. (Coll. part.).” (p. 224)

Deux des bâtiments de la tannerie Chesnay, donnant sur l’Aubette s. d. (p. 274)

Cour d’une tannerie, s. d. (p. 275)

Entête librairie de Magny, 21 rue de Paris, s. d. (p. 277)

La sucrerie Corbin, photo s. d. (p. 278)

Constructions mécaniques R. Chatelin, photo s. d. (p. 281)

Ouvriers de la chaiserie Dallongeville qui, place de la Butte, s’était installée dans l’ancien hôtel-Dieu (p. 285)

Maison Couturier, fabrique de chaises :

Transport de chaises vers 1905 (p. 289)

Le banc de scie avec la scie verticale à grumes. A droite, sur le bâti, la « poupée » est munie d’une griffe. La bille est sur le chariot, et avance grâce aux rouleaux cylindriques. A gauche, deux plateaux sciés séparés par des cales. Au fond, des plots ou grumes reconstitués. (p. 292)

L’étuve, et le gabarit de cintrage. (p. 292)

L’atelier de montage des chaises à dossier en vrille, sur des établis à taquets (pour le calage des pièces). (p. 295)

La fabrique Couturier, photographiée en 1871 par un photographe ambulant. Au fond, la cheminée de la machine à vapeur. Au premier plan, des grumes. (p. 294)

Hôtel du Grand cerf, affiche vers 1836 (p. 296)

Apogée et déclin des diligences : la concurrence du chemin de fer, 1877 (p. 298)

Plaidoyer pour que la ligne de chemin de fer Pontoise-Gisors desserve Magny, 1859 (p. 299)

 

La gare, s. d. (p. 299)

La bénédiction du chemin de fer de Magny en 1871 (p. 300)

Horaires des trains Magny-Chars-Paris en 1887 (p. 300)

Hôtel de la Gare, s. d. (p. 301)

Les deux gares, s. d. (début XXe ?). Carte postale (p. 303)

Horaires Paris-Magny en 1913 (p. 303)

Les nombreux cheminots de la gare de Magny s. d. (p. 304)

Jour de marché ou de foire, à la fin du XIXe

Halle de Magny, marché aux veaux. “Lithographie de Constantin, faite entre 1860 et 1868, d’un très grand intérêt pour la structure de la halle, bien visible, et pour les façades de la place de la Halle qui y sont représentées” (p. 310)

Le marché de Magny en ~1900 (p. 312) -1

Le marché de Magny en ~1900 (p. 312) -2

Marchés et foires de Magny au XIXe siècle

La rue Carnot, “l’une des plus commerçantes et des plus vivantes de Magny.” (p. 315) -1

La rue Carnot (p. 315) -2

Les vastes bâtiments de la maison Desmonts, place d’Armes. ( 316)

L’intérieur de la maison Coulette. “Debout à droite, Eugène Coulette et, penchées à la fenêtre, son épouse et une cousine.” (316)

Le Bon Diable “Un bastion du commerce de Magny : le Bon Diable, maison Ragot Papier à en-tête, façade de la boutique […]” (p. 318)

Quincaillerie Julien, s. d. (début XXe ?) (p. 322)

Place de la Halle, s. d. (début XXe ?) (p. 323)

Rue de Paris, s. d. (début XXe ?) (p. 323)

Rue de Beauvais, “Un attelage de boeufs remontant la rue de Beauvais : le spectacle, à l’époque, n ‘avait rien d’insolite” (p. 324)

 

La campagne autour de Magny (p. 325)

Bords de l’Aubette (p. 325)

Belle maison bourgeoise à Magny. “Vue de la maison de Mme Morisot, rue de Crosne, n° 1, à Magny-en-Vexin. Cette bâtisse abrite aujourd’hui la DASS.” (p. 327)

Scène de ferrage sur le boulevard Dailly. Les maréchaux-ferrants faisaient depuis des siècles partie du paysage magnytois” (p. 332)

Atelier de tonnelier (p. 333)

Boulevard des Ursulines. “Les roues de charrette dressées montrent qu’il y avait là un charron.” (p. 333)

L’école communale de garçons. (p. 340)

L’un des boulevards de Magny, alors tous bordés d’arbres et fermés par des barrières” (p. 343)

La ruelle des Chevaliers. (p. 345)

Les passages Lefèvre et Huré, tous ouverts au XIX siècle.” (p. 345)

La rue Vallière. “Après l’extension de part et d’autre de la rue de Crosne, Magny s’est développée vers la rue de Beauvais et la gare. On voit ici deux artères nouvelles : la rue Vallière et le boulevard de la République, ainsi que l’usine à gaz (plan de 1905, étude Devaux [voir plus haut]) (p. 346)

La place de la Halle, telle qu’elle fut aménagée au début du XXe siècle.

Le Pont du Moulin (p. 349)

Le Ponceau du Moulin de la Planche, à Magny, construit en 1854 (p. 350)

Démographie de Magny au XIXe siècle (p. 350)

L’église de Magny lithographiée par O. Petit, avec la place aménagée au XIXe siècle.” (p. 353)

La vieille halle de Magny photographiée, à la demande du Conseil municipal, juste avant sa destruction, en 1886.” (p. 358)

La nouvelle halle. (p. 359)

Rue Carnot. “Il fallut bien des règlements pour parvenir à ce que les Magnytois prennent l’habitude, comme sur cette vue de la rue Carnot, de balayer devant chez eux” (p. 371)

Scènes de rue à Magny, vers 1860. A l’arrière plan, à l’angle de la
rue de Villeroy et de la rue de Paris, on puise de l’eau (lithographie
de Maugendre, détail).” (p. 374)

La mare des Piliers, photographiée à la fin du XIXe siècle. On y puisait de l’eau et, surtout, on y faisait boire les chevaux. On remarquera à l’arrière-plan les locaux du loueur de chevaux et voitures Lepileur. (p. 375)

Le lavoir. “Une eau de qualité douteuse pour les ménagères qui lavaient et rinçaient leur linge au lavoir et au ru.” (p. 377)

L’usine à gaz de la rue de Beauvais. (p. 379)

Place d’Armes. “Deux conquêtes tardives : l’éclairage, dont on voit ici deux réverbères, et l’eau : au pied du réverbère de gauche, on distingue une borne fontaine. (p. 380)

Rue de Crosne. “On a peine aujourd’hui à imaginer la quantité de chevaux qui circulaient en ville. Ici, l’arrivée d’un convoi rue de Crosne, sans doute un jour de marché.” (p. 382)

“Le célèbre et redouté carrefour de la Croix de Lorraine, dégagé grâce au pan coupé que l’on voit sur la gauche.” (p. 384)

La rue de Beauvais, de plus en plus fréquentée au XIXe siècle, et pourtant aménagée très tardivement.” (p. 385)

Le champ de courses de Magny à la fin du XIXe siècle. Un lieu très couru de la bonne société.” (p. 389)

Place de la halle. “La rosière de 1899, Hélène Le Sueur, précédée de la fanfare et accompagnée d’amis et de curieux.” (p. 390)

Porte de Paris. “La ville attend un ministre : banderoles, drapeaux ont été suspendus aux entrées et aux façades.” (p. 393)

Place Potiquet. “Mât de cocagne sur la place Potiquet, à la fin du XIXe siècle.” (p. 402)

Place d’Armes (?). “Mariage et mariés magnytois au début du XXe siècle.”

Rue de Paris. La Fête-Dieu : l’un des grands moments de la communauté catholique. La procession dans les rues de Magny, bannière en tête. Certaines façades ont été tendues de draps blancs” (p. 405)

Boulevard à Magny. “Plaisirs d enfants : pour les plus privilégiés, de beaux jouets. Pour les autres, la rue, le cerceau, et la joie d’être ensemble.” (p. 410)

Les bords de l’Aubette : tout comme les boulevards, un lieu de promenades. (p. 411)

Hôtel du Grand cerf (p. 412)

Hôtel du Cheval Blanc (p. 412)

La place de la Halle, lieu privilégié pour le commerce, mais aussi pour les plaisirs. On y venait au Casino, sous la halle, et, à droite, au
café de la Renaissance.” (p. 413)

Moulin banal. “La rue reste au XIXe siècle un lieu de vie et de rencontres. Ici, devant le vieux moulin banal, une Magnytoise en robe et en coiffe a visiblement aperçu quelqu’un vers qui elle se dirige. A la fenêtre, une autre regarde la scène (avant 1836). (p. 414)

 


 

 

 

POPSU P45 Environnement

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Doc Environnement P45

 

Contrat de Bassin de l’Aubette-de-Magny 2010 -2014 :

Bilan des actions de restauration des milieux aquatiques et humides
Restauration et entretien du cours d’eau, Phase 1 : étude analytique
Restauration et entretien du cours d’eau, Phase 2 : propositions d’actions

Natura 2000 dans le Vexin Français :

lien vers la page d’accueil

POPSU AETPF

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Documents mis en ligne pour le M1 AETPF

Documents à télécharger :

     Présentation d’Yves Petit-Berghem, 17-02-19
     Document d’objectif Natura 2000

     Programme de l’enseignement
     Répartition par groupes
     Localisation des groupes (A3)
     Cartes des groupes 1 à 5 (A4)

     Carte du bassin versant de l’Aubette
     Occupation du sol niveau 1
     Occupation du sol niveau 2
     Risques naturels, miniers et technologiques à Magny
     Corine Land Cover, document technique
     Plan de prévention des risques d’inondation (PPRI)
     Cahier de session du séminaire Agropaysage 2016
     Bilan des eaux du Val-d’Oise, mémoire de master de Patricia Lopes
     Le Vexin français, un territoire bordé d’eau, document du PNR

     L’Atlas des paysages du Val-d’Oise sur Camaleo

Sites à consulter :

Inventaire forestier (IGN)
Registre parcellaire graphique
OpenStreetMap
Inventaire national du patrimoine naturel (INPN)
CORINE Land Cover
Eaufrance

Remonter le temps
Le site remonterletemps.ign.fr permet de voir et télécharger les photos aériennes des différentes missions qui ont couvert le bassin versant de l’Aubette depuis 1935.
Tapez “Magny-en-Vexin” dans la zone de recherche, et choisissez parmi les 91 missions qui vous sont proposées.
Exemple : les sources de l’Aubette de 1936 à 2011 / Magny-en-Vexin de 1946 à 2015

 

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 Revue des Amis du Vexin français (extraits et sommaires)

Photos Omerville 28-05-20

POPSU et crise sanitaire : repères bibliographiques

Réaliser un formulaire en ligne sur Framaforms

Atlas du patrimoine

Annuaire des associations magnytoises

La fonction “Vues adaptatives” (pour charger les données de Geoportail)

Exemples de documents Géoportail grand format

Magny-en-Vexin dans la presse locale

L’Aubette sur les cartes de Cassini et de l’État Major

Documents mis en ligne pour l’atelier P45 de l’EnsaV

Travaux d’étudiants P45 Octobre

Travaux d’étudiants P45 Décembre

Documents mis en ligne pour le master AETPF

Travaux d’étudiants AETPF (présentations et rapports écrits)

Photos sources Aubette

Photographies

Site de dépannage

Cressonnière

Le Potager du Roi à Versailles

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Le Potager du Roi à Versailles :

patrimoine vivant et pépinière de jeunes paysagistes

Face aux polémiques récentes autour du Potager du Roi, un groupe d’enseignants de l’École nationale supérieure de paysage a pris l’initiative de rédiger une tribune et de solliciter le soutien de professionnels, de chercheurs et de personnalités du monde du paysage et du jardin liés à l’ENSP et au Potager du Roi.

Ce texte vise à défendre à la fois le projet pédagogique et patrimonial porté par l’École nationale supérieure de paysage, ainsi qu’une vision dynamique de la conservation et de la valorisation d’un jardin historique.

Cette tribune est parue dans le journal Le Monde daté du 19/20 janvier 2020.


Un grand jardin historique est un organisme vivant. Il ne peut être conservé qu’en inscrivant son devenir dans le monde contemporain. À quel projet l’avenir du Potager du Roi à Versailles — jardin construit à la demande de Louis XIV, classé monument historique en 1926 et depuis 1995 sous la responsabilité de l’École nationale supérieure de paysage (ENSP) — doit-il répondre ?

Rappelons les faits. Le 4 octobre dernier, un article exclusivement à charge : « La lente agonie du Potager du Roi », publié dans le Figaro, dénonce l’état général du jardin, qui « n’en finit pas de se dégrader. » Le 16 octobre, l’ENSP répond sous la forme d’un dossier de presse. Y sont réfutées point par point des accusations injustes et des affirmations erronées, dont la plupart ont pour origine le « Livre blanc pour l’avenir du Potager du Roi », rédigé par l’Association des Amis du Potager du Roi, association de bénévoles constituée en 2016. Peine perdue, le journaliste persiste et signe le 30 octobre : « Le Potager du Roi est bel et bien à l’agonie. »

Une critique publique peut remettre en cause les compétences de l’établissement qui a la charge du Potager. Le site est en effet vieillissant et fragile, car sa structure générale, autant au niveau du bâti que des plantations, a fait l’objet de trop peu d’interventions depuis la fin du XIXe siècle. Pourtant, c’est bien l’École de paysage qui pour la première fois a ouvert le Potager au public et a initié avec le ministère de la Culture la conduite des nombreux chantiers nécessaires à la conservation et à la valorisation du site (études de diagnostic, replantations, travail en concertation avec des professionnels, développement du mécénat, programmation et réalisation de la restauration d’infrastructures et des bâtiments classés, politique des publics…).

Que veulent les Amis du Potager du Roi ? La restauration de ce qu’ils nomment un modèle de « potager aristocratique français du XVIIe siècle », le retour « à l’âge d’or de l’arboriculture française au XIXe siècle », avec l’ouverture du site jusqu’à 300  000 visiteurs par an et le « changement de gouvernance », voire sa mise en concession, avec ou sans l’établissement qui en a la responsabilité.

Cette proposition est clairement inspirée par une vision du patrimoine figée, commerciale, et sans rapport avec les enjeux de société et environnementaux actuels. Elle oublie que le Potager est depuis 1873 un jardin-école, placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et destiné à la formation supérieure des métiers de l’horticulture et du paysage. L’ancien jardin royal a été alors organisé pour l’enseignement et l’expérimentation, en y implantant des centaines d’espèces et de formes fruitières nouvelles.

Au XXe siècle, sous la houlette de l’École nationale supérieure d’Horticulture, qui a géré le site jusqu’en 1995, la plupart des variétés cultivées ont été perdues. Le Potager est devenu un conservatoire. Aujourd’hui, l’École de paysage poursuit cette tradition, mais elle la démultiplie avec de nouvelles expérimentations horticoles et la mise en œuvre de pratiques agroécologiques. Les paysagistes concepteurs contribuent à ces développements et leur formation ne saurait se passer de l’expérience pratique du jardinage et des jardiniers du Potager.

Les Amis du Potager du Roi ne peuvent ignorer cette démarche, inscrite pleinement dans l’histoire du Potager. Le modèle économique qu’ils proposent, à vocation touristique, n’offre aucune garantie, ni de succès ni de meilleure conservation du site. En revanche, résumer la réussite du site à la seule augmentation de sa fréquentation revient à couper le Potager de sa vocation pédagogique et à mettre en danger sa vocation expérimentale. Le projet de développement porté par l’ENSP vise à respecter le sens historique du lieu tout en l’articulant avec un enseignement technique destiné aux meilleurs spécialistes et au public.

Rappelons également que le renouvellement des espaliers et contre-espaliers est un processus long et coûteux, qui s’accompagne de la juxtaposition d’arbres centenaires fatigués, mais toujours productifs, et de jeunes sujets. Ce mélange de générations est normal dans les jardins fruitiers et contribue à leur valeur historique. Il est surprenant de constater, par ailleurs, que le travail de renouvellement engagé depuis plusieurs années est ostensiblement ignoré, autant par les critiques que par les photos qui les illustrent.

S’il est nécessaire de trouver les moyens financiers et humains pour restaurer le site, cela ne doit pas être fait au détriment de ses valeurs historiques et pédagogiques, indissociables. Il s’agit bien, comme le prévoit la direction de l’École de paysage, de réunir toutes les missions du Potager dans un lieu unique de formation, de conservation patrimoniale, d’accueil des publics et d’expérimentation.

Il serait donc très risqué de figer le Potager du Roi dans la seule image fantasmée d’un supposé Âge d’or de l’Horticulture, alors que la priorité pour ce patrimoine vivant est de s’inscrire dans les multiples enjeux environnementaux et sociétaux du XXIe siècle.

François ABELANET, architecte, scénariste, anamorphiste

Michel AUDOUY, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Henri BAVA, paysagiste concepteur (Agence TER), président de la Fédération française du paysage, Grand prix national d’urbanisme 2018

Jean-Marc BESSE, directeur de recherche CNRS, directeur d’études EHESS, UMR Géographie-cités

Bernadette BLANCHON, architecte DPLG, maitre de conférences, ENSP Versailles-Marseille

Romain BOCQUET, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Sophie BONIN, ingénieur agronome et civile, géographe, maître de conférences, ENSP Versailles-Marseille

Emmanuelle BOUFFÉE, paysagiste, jardinière

Gianni BURATTONI, artiste, dessinateur, peintre, landscape designer

Jean-François CABESTAN, historien de l’architecture, maître de conférences, Université de Paris I Panthéon-Sorbonne

Alberta CAMPITELLI, historienne des jardins, ancienne directrice des villas et jardins historiques de Rome

Elisabetta CEREGHINI, architecte, paysagiste, historienne, experte conservation patrimoine parcs et jardins

Laurent CHATELAIN, pépiniériste, groupement des pépiniéristes d’Ile-de-France

Marc CLARAMUNT, paysagiste concepteur, enseignant, ENSNP/INSA Centre Val de Loire

Gilles CLÉMENT, ingénieur horticole, paysagiste, écrivain, jardinier

Françoise CRÉMEL, paysagiste concepteur PHD, enseignante, ENSP Versailles-Marseille

Charles DARD, paysagiste concepteur, enseignant ENSA Rennes

Pierre DAVID, architecte, auteur, professeur, ENSA Paris-Malaquais

Stéphanie DE COURTOIS, historienne des jardins, maître de conférences, ENSA Versailles

Rosa DE MARCO, architecte PHD, maîtresse de conférences, ENSA Paris La Villette, AMP

Ariane DELILEZ, déléguée générale de la Fédération française du paysage (FFP)

Frédérique DESBUISSONS, historienne de l’art, maître de conférences, Université de Reims

Pierre DONADIEU, ingénieur horticole, membre de l’académie d’Agriculture, ancien enseignant ENSP Versailles-Marseille

Michel DUCHÊNE, président Association Henri & Achille Duchêne

Rémi DUTHOIT, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Massimo VENTURI FERRIOLO, philosophe, ancien professeur d’esthétique au Politecnico de Milan

Gilles EBERSOLT, architecte, co-concepteur du Radeau des Cimes 

François FELIX, paysagiste concepteur, rosiériste obtenteur

Federico FERRARI, historien de l’architecture, maître de conférences, ENSA Nantes — UMR AUSser

Marco FERRARI, architecte paysagiste, doctorant, Politecnico de Milan

Anne FORTIER-KRIEGEL, paysagiste concepteur PHD, inspecteur des sites, Paris

Adrien FOURÈS, paysagiste concepteur, agence Base, Paris

Pauline FRILEUX, ethnoécologue, maître de conférences, ENSP Versailles-Marseille

Alessandro GABBIANELLI, architecte paysagiste PHD, maître de conférences, Politecnico de Turin

Maria Adriana GIUSTI, historienne des jardins, professeure de restauration des jardins, Politecnico de Turin

Olivier GONIN, jardinier, documentaliste, ENSP Versailles-Marseille

Mathieu GONTHIER, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Cosette GRIFFIN KREMER, ancienne secrétaire générale et actuelle éditrice de l’Association internationale des musées d’Agriculture (AIMA), chercheur

Antoine GRUMBACH, architecte urbaniste, ancien professeur à l’ENSA Paris-Belleville

Jean-Pierre GUENEAU, président d’Hortis

Véronique FAUCHEUR, paysagiste concepteur, atelier Le Balto (Berlin)

Karin HELMS, paysagiste concepteur PHD, enseignante, ENSP Versailles-Marseille, présidente de la Fédération internationale des Architectes paysagistes — Europe (IFLA).

Béatrice JULIEN LABRUYERE, paysagiste concepteur, ENSP Versailles-Marseille

Sonia KERAVEL, paysagiste concepteur PHD, maîtresse de conférences, ENSP Versailles-Marseille

Bernard LANDAU, architecte voyer honoraire de la Ville de Paris, École des ingénieurs de la ville de Paris

Jean-Marc L’ANTON, paysagiste concepteur, maître de conférences associé, ENSA Val de Seine

Jean-Pierre LE DANTEC, historien des jardins, écrivain, ingénieur, architecte, ancien directeur de l’ENSA La Villette

Jean-Baptiste LESTRA, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Jacky LIBAUD, jardinier naturaliste, conférencier des jardins, Paris

Luisa LIMIDO, historienne des jardins, architecte PHD, journaliste, Association italienne des architectes paysagistes (AIAPP) — IFLA

Christian MAILLARD, administrateur et délégué régional Île-de-France, Hortis

Daniella MALNAR, historienne des jardins, service des Fontaines du Château de Versailles

Marco MARTELLA, historien des jardins, fondateur de la revue Jardins

Olivier MARTY, peintre, cinéaste, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Patrick MOQUAY, professeur, directeur du laboratoire de recherche de l’ENSP Versailles-Marseille

Véronique MURE, ingénieur agronome, botaniste, enseignante, ENSP Versailles-Marseille

Erik ORSENNA, écrivain, membre de l’Académie française

Claude PASQUER, paysagiste concepteur, jardinier, sculpteur

Michel PENA, paysagiste concepteur, président de la Fondation paysages

Alexis PERNET, paysagiste concepteur PHD, maîtres de conférences, ENSP Versailles-Marseille

Nicole POT JALLADEAU, inspectrice générale des affaires culturelles honoraire

Marc POUZOL, paysagiste concepteur, atelier Le Balto, Berlin

Michel RACINE, initiateur de l’ouverture au public du Potager du Roi (1991), membre d’honneur du Comité scientifique international ICOMOS-IFLA des paysages culturels

François ROUMET, paysagiste concepteur, enseignant, ENSP Versailles-Marseille

Marc RUMELHART, ingénieur horticole, écologue, ancien professeur à l’ENSP Versailles-Marseille.

Sylvie SALLES, architecte DPLG (PHD), professeur, ENSP Versailles-Marseille

Pierre SANNER, directeur de la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires, UNESCO

Chiara SANTINI, historienne des jardins, enseignante, ENSP Versailles-Marseille

Lena SOFFER, architecte paysagiste, Paris

Rainer STANGE, paysagiste concepteur, enseignant à l’École d’architecture et de design d’Oslo, président des paysagistes norvégiens

Cole SWENSEN, poète, professor Literary Arts, Brown University (USA)

Catherine SZANTO, historienne des jardins, paysagiste PHD, ENSA La Villette — ENSNP/INSA Centre Val de Loire

Jean-Philippe TEYSSIER, paysagiste concepteur, émission télé Jardins d’ici et d’ailleurs (ARTE)

Emmanuelle TOUBIANA, directrice de l’agence de relation presse Tambour Major

Jean-Marc VASSE, délégué général chez Val’hor, maire de Terre de Caux

Maria VILLALOBOS, architecte paysagiste PHD, Illinois Institute of Technology, Chicago (USA)

Clément WILLEMIN, architecte et paysagiste concepteur, médaille d’Urbanisme de l’Académie d’Architecture 2019